blague régiment

Petit jeu militaire

Un homme rentre chez lui à cinq heures du matin et son épouse l’accueille fraîchement :
– C’est ça que tu appelles un petit dîner entre copains de régiment ? Je pense que vous avez bu comme des trous !
– Pas du tout, chérie. Nous avons seulement évoqué de vieux souvenirs, après, on a joué à un jeu épatant. On était quatre, il y avait un qui sortait et les trois autres essayaient de deviner qui c’était.

Le préservatif écossais usagé

Un Major de l’armée écossaise, vêtu de son kilt et portant sa cornemuse à l’épaule entre dans une pharmacie de Glasgow. Il s’avance au comptoir, fouille dans sa besace de cuir et en sort un préservatif tout ce qu’il y a de plus usé. Il le dépose sur le comptoir et dit :
– Combien cela coûterait-il de le remettre en état ?

L’assistant en pharmacie, bien qu’un peu surpris par la question répond :
– Ça vous coûtera 50 centimes…

Le major réfléchit puis demande encore :
– Et pour un neuf, combien cela ferait-il?
– Pour un neuf, il vous en coûtera 1 euro 50.
– Merci.
Et le major quitte la pharmacie avec sa vieille capote.

Une semaine plus tard, le même major entre à nouveau dans la pharmacie, il s’avance au comptoir, ressort son préservatif usé de sa besace, le pose sur le comptoir et s’adresse à l’assistant en disant :
– Le régiment à décidé d’en acheter un nouveau…

Le tact militaire

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Dugenou fait son service dans un régiment d’infanterie. Sa soeur vient de mourir dans un accident de voiture, mais il ne le sait pas encore. Son Colonel l’apprend via la brigade de Gendarmerie et fait appeler l’adjudant de semaine :
– Adjudant Lafleur !
– Vos ordres mon Colonel !
– Oui, dites-moi, Lafleur, la sœur de Dugenou est décédée ce matin. Je vous ai fait appeler pour que vous lui annonciez la nouvelle avec tact. Dugenou est un garçon sensible, et vous saurez le ménager.

Lafleur sort du bureau du Colonel et fait sonner le rassemblement. Une fois devant la compagnie rassemblée, il vocifère :
– Les ceusses dont la sœur est morte, un pas en avant !

Personne ne bouge…
– Dugenou ! Vous m’frez quinze jours de trou pour non-obéissance aux ordres.