blague rabbin
La drôle d’arnaque du rabbin et du prêtre

Un prêtre dit à son copain rabbin :
– J’ai un truc pour manger gratuit !
– Super ! dis-moi comment tu fais ?
– Je vais au restaurant, assez tard, je commande entrée, plat de résistance, fromages, dessert, et ensuite je prends mon temps avec un café, un cognac et un bon cigare, et j’attends la fermeture. Comme je ne bouge pas, quand presque toutes les chaises sont déjà sur les tables, le garçon vient vers moi pour me demander s’il peut encaisser ; alors je lui réponds : mais j’ai déjà payé à votre collègue qui est parti ! Et le tour est joué !
Le rabbin :
– Génial ! on essaie demain ?
– Ok
Le lendemain les deux compères vont au restaurant : entrée, plat de résistance fromage etc… Le moment de la fermeture arrive, le garçon demande s’il peut encaisser, le prêtre lui répond :
– Désolé, mais on a déjà payé l’addition à votre collègue qui est parti…
Et le rabbin ajoute :
– Et puis d’ailleurs j’aimerais bien qu’on nous rende la monnaie !
Mourir par un rude hiver
Ça se passe en plein hiver, alors qu’il fait – 20° C dehors et que la neige recouvre tout le pays. Le vieux Simon Blumstein est à l’article de la mort. Dans un souffle, il demande à sa femme Rachel qui reste près de son lit de lui appeler un prêtre. Rachel s’étonne :
– Mais enfin Simon, pourquoi un prêtre ? Tu n’as plus toute ta tête…
Alors Simon lui répond :
– On va quand même pas déranger le rabbin avec un temps pareil ?
Pourquoi prier l’Eternel tous les jours
Moshé est pris d’un doute et s’en va voir son rabbin pour lui poser LA grande question qui vient de lui traverser l’esprit :
– Dis-moi grand rabbin, toi qui a la sagesse, pourquoi est-on obligé de prier l’Eternel tous les jours ?
Le rabbin lui répond :
– Ce qui est surtout très très important, c’est de prier la veille du jour de sa mort, Moshé.
– Mais grand rabbin, comment peut-on savoir quel jour on va mourir ?
– Eh bien, justement Moshé, justement…
La blague du rabbin turfiste

Un rabbin marchait près de l’hippodrome d’Auteuil lorsqu’une rafale de vent fit s’envoler son chapeau. Le rabbin voulu le rattraper, mais avec sa canne et son grand âge, impossible d’y parvenir.
De l’autre côté de la route, un homme voit la situation et court pour mettre la main sur le chapeau du rabbin. Il y parvient et le rend au rabbin qui lui dit :
– Merci beaucoup. Je pense que je n’y serais jamais parvenu seul. Que Dieu vous bénisse !
Là-dessus, le gars se dit: « J’ai été bénit par le rabbin, si ça tombe, c’est mon jour de chance ». Et le gars étant un turfiste convaincu, il fonce à l’hippodrome.
Pour la première course, il voit un cheval qui s’appelle « Canotier », côté à 25 contre 1, et sans hésiter, il parie 100 euros dessus… et Canotier arrive premier de sa course.
Dans la deuxième course, le gars voit en lisant son Paris Turf que le cheval « Stetson » est côté à 5 contre 1. Ni une ni deux, le gars mise ses 2500 euros et Stetson gagne sa course !
À la fin de la journée, notre gars rentre chez lui et sa femme lui demande ce qu’il a encore foutu pour rentrer si tard. Alors le gars lui répond qu’il a rencontré un rabbin, et que le rabbin l’a béni, et qu’ensuite il est parti aux courses car il était persuadé de gagner ce qu’il voulait si il pariait sur les chevaux dont le nom était celui d’un chapeau, et qu’effectivement, c’est ce qui s’est passé.
– Alors où est l’argent ? demande la femme.
– J’ai tout perdu dans la dernière course. J’ai pas encore compris pourquoi. J’ai parié sur « Casse-Tête » et il est arrivé dernier !
– Espèce de crétin, casse-tête c’est un jeu, pas un chapeau…
– Oh ça fait rien… J’aurai pas pu gagner, dans cette course, c’est un cheval avec un nom turc qui a gagné. Il s’appelait Kipah ou quelque chose comme ça…