blague rabbin

La blague du poison de la vie de couple

Un homme l’air très préoccupé va voir son rabbin :
– Rabbi, rabbi, quelque chose de terrible est en train de m’arriver ! Il faut que vous m’écoutiez !

Le rabbin pose le livre qu’il était en train de lire et répond :
– Alors, qu’est-ce qui se passe David ?
– Rabbi, ma femme cherche à m’empoisonner.

Le rabbin fronce les sourcils :
– Allons David, ce n’est pas possible. Qu’est-ce qui te fait croire ça ?

Et David explique :
– Je vous assure rabbi, mes aliments changent de goût, je l’ai vue verser des produits dans mon verre en cachette… Qu’est-ce que je dois faire ?

Le rabbin réfléchit et répond :
– Écoute David, voici ce que je te propose : je vais lui parler et je me ferai mon opinion par moi-même. Reviens demain à la synagogue, je te donnerai mon avis.

Le lendemain, David retrouve le rabbin dans la synagogue. Le religieux dit :
– David, j’ai parlé à ta femme. J’ai eu ta femme pendant trois heures au téléphone… Tu veux mon avis ?

David répond d’une voix teintée d’anxiété :
– Oui rabbi.
– Eh bien, prends le poison, David.

La confiture divine

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Tous les matins depuis 30 ans, Sarah se fait une tartine de confiture au petit déjeuner, et tous les matins depuis 30 ans, la tartine tombe à terre côté confiture. Un jour, un miracle, la tartine tombe sur l’autre côté.

Bouleversée, elle se précipite chez le rabbin :
– Rabbi ! Est-ce Dieu qui me fait un signe ?
Ne sachant que penser, le rabbin demande un délai de 3 jours avant de lui répondre.

Il passe la première journée en prières afin que le Très Haut l’assiste dans sa tâche, il s’isole du reste du monde le second en une intense méditation et enfin, il fait appel le troisième jour à quelques-uns de ses plus éminents collègues.

Sarah revient chercher sa réponse le matin du quatrième jour :
– Alors Rabbi ? Dieu m’a-t-il adressé un signe ?
– Non ma fille, répond le vieux rabbin désolé, ce matin-là tu as mis la confiture du mauvais côté.

La blague du perroquet qui parle yiddish

Abraham est un veuf désespéré qui trimballe sa carcasse sur un trottoir parisien, espérant secrètement que quelque chose de bien lui arrive dans sa moche de vie. Passant devant une animalerie, il entend une voix chevrotante crier en yiddish :
– Quawwwwk…vas macht du… Oïïï, du… là dehors, t’as l’air d’une andouîîîllle…eh ?

Abraham se frotte les yeux, ou plutôt se débouche les oreilles. Il n’y croit pas. C’est un perroquet qui vient de lui parler à lui, et en yiddish encore !

Alors il rentre dans le magasin. Et se plante devant le Gris du Gabon qui l’avait interpellé lorsqu’il passait sur le trottoir, et il demande au vendeur :
– C’est vrai, il sait vraiment parler yiddish ?
– Ouais monsieur, c’est un juif polonais qui me l’a vendu la semaine dernière !

Abraham pense que ce perroquet et lui étaient destinés à être réunis (sinon pourquoi l’aurait-il interpellé dans la rue), et c’est avec enthousiasme qu’il fait un chèque de 1000 euros et qu’il repart avec son Gabonais.

De retour chez lui, il se met à parler yiddish avec le Psittacidé. Il lui parle de sa femme, du reste de sa famille, de ses amis… Et le perroquet lui raconte sa vie chez son ancien propriétaire, puis la tristesse de la vie dans une animalerie etc… Enfin, après avoir parlé toute la nuit, Abraham va se coucher.

Le lendemain, Abraham commence la journée par ses prières. Le perroquet lui demande ce qu’il fait, et Abraham en profite pour lui expliquer le judaïsme…. Et le perroquet demande alors à prier lui aussi. Alors Abraham lui bricole une mini kipah* et le volatile se met à prier en yiddish.

Puis l’oiseau émet le voeu d’apprendre à lire l’hébreu. Alors Abraham s’attelle à la tâche, passant des semaines et des mois à apprendre au perroquet la Torah. Tant et si bien qu’Abraham en vint à considérer Coco comme un vrai ami.

Un matin de Rosh ha-Shana**, Abraham se leva, s’habilla et s’apprêtait à partir lorsque Coco lui demanda de l’emmener avec lui. Abraham lui expliqua que la synagogue n’était pas un endroit pour lui, mais le perroquet insista tellement qu’Abraham décida de l’emmener, perché sur son épaule.

Lors de leur arrivée à la synagogue, tout le monde se pressa autour d’eux, y compris le rabbin. Le rabbin, justement, dit à Abraham que ce n’était pas une place pour un oiseau, fut-il parleur. Mais Abraham qui connaissait le rabbin depuis tellement longtemps obtint gain de cause.

Lorsqu’ensuite Abraham dit à tout le monde que son Coco était capable de prier en yiddish, alors là, tout le monde voulu parier sur l’affaire. Et Abraham n’hésita pas à tenir les milliers d’euros engagés…

Naturellement, pendant le service, tout le monde eut les yeux tournés vers le perroquet, mais le perroquet perché sur les épaules d’Abraham n’ouvrait pas le bec ! Abraham commençant à s’impatienter lui dit :
– Eh bien vas-y Coco, prie !
Mais Coco ne disait toujours rien

– Allez Coco, s’il te plaît… Tout le monde te regarde et j’ai tellement parié sur toi. Ne me laisse pas tomber !
Mais Coco se taisait.

A la fin du service de Rosh ha-Shana, Abraham calcula qu’il devait plus de 3000 euros à ses copains et au rabbin pour avoir perdu son pari.

Et il rentrait chez lui, à nouveau perdu dans ses pensées profondément tristes, lorsque Coco se mit à fredonner un vieux chant yiddish… Visiblement Coco était très joyeux, lui !

Abraham s’arrêta, le regarda et lui demanda :
– Dis-donc toi, misérable emplumé. Tu es responsable des 3000 euros que je dois à mes copains. Pourquoi m’avoir fait ça à moi ? Je suis ton ami, je t’ai tant appris : l’hébreu, les prières, la Torah… C’est là toute la reconnaissance dont tu peux faire preuve ? Pourquoi m’avoir fait ce coup là ?

Et alors Coco lui répond :
– ha, ne soit pas si bête… Pense un peu à la cote qu’on aura pour Yom Kippour*** !

* la calotte pour les prières
** jour de l’an
*** jour du grand pardon (10 jour après le nouvel an)

La blague de la nudité religieuse

Un pasteur protestant, un prêtre et un rabbin décident d’aller faire une ballade par un beau dimanche d’été. Il fait très très chaud et les trois amis sont épuisés et en sueur lorsqu’ils arrivent sur les berges d’un petit lac aux eaux claires.

L’endroit étant vraiment retiré de tout, ils n’hésitent pas une seule seconde et retirent tous leurs vêtements avant d’aller « piquer une tête » dans le lac.

S’étant bien rafraîchi, le trio sort de l’eau et entreprend de ramasser quelques myrtilles, toujours en tenue d’Adam… Seulement, alors qu’ils arrivent dans une clairière, ils tombent nez à nez avec un groupe d’une dizaine de dames qui visiblement avaient choisi cet endroit comme lieu de randonnée.

Sachant qu’il leur est impossible de retrouver leurs vêtements à temps, le pasteur et le prêtre cachent tant bien que mal leurs « parties » derrière leurs mains. Le rabbin, par contre, se sert de ses mains pour se cacher la face !

Après que les dames aient quitté les lieux et que les trois amis se soient rhabillés, le pasteur et le prêtre s’enquièrent de la réaction de leur confrère rabbin : « Pourquoi s’est-il caché le visage, plutôt que ses organes génitaux ? »

Et là le rabbin leur répond :
« Mes amis, je ne sais pas comment ça se passe chez vous, mais dans ma congrégation, c’est mon visage que les fidèles risqueraient de reconnaître… »