blague psychiatres

Le lit psychiatrique

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C’est un type qui va voir un psy :
– Docteur ! j’ai un problème grave. Quand je me mets au lit, j’ai l’impression qu’il y a quelqu’un dessous… et quand je vais voir dessous, je crois qu’il y a quelqu’un dessus. Dessous, dessus, dessous, dessus… Je deviens fou !
– Remettez votre sort entre mes mains, d’ici deux ans j’aurai réglé votre problème… à raison de trois séances par semaine.
– Et à raison de… combien par séance ?
– 100 euros la séance. C’est donné. Le prix de la tranquillité.
– Je vais réfléchir, répond le type.
Et il disparaît dans la nature.

Six mois plus tard, le psy rencontre son ex-futur patient et lui demande de ses nouvelles.
– Un copain de bistro m’a débarrassé de mon problème pour 30 euros, le prix d’une tournée générale.
– Ah oui ? Et comment ?
– Il m’a conseillé de couper les pieds du lit !

La dépression aérienne

Deux copains se retrouvent :
– Comment vas-tu ?
– Mal. J’avais une dépression nerveuse. Je suis allé voir un psychiatre. Il m’a conseillé de me répéter cinquante fois tous les matins : je suis gonflé à bloc, je suis gonflé à bloc……..
– Et alors ? C’est fini, ta dépression nerveuse ?
– Oui, mais maintenant, j’ai de l’aérophagie……

La blague de l’héritage du psychiatre

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Deux psychiatres, amis depuis la fac, se retrouvent lors d’un congrès de psychanalyse. Ils prennent un verre de champagne et papotent devant le buffet.
– …Et toi alors, dis-moi, quel a été ton cas le plus difficile ?

L’autre répond :
– J’ai eu un patient qui vivait dans un monde complètement imaginaire. Il croyait avec force qu’un beau jour, un oncle vivant aux États-Unis allait mourir et lui laisser une vraie fortune, à lui tout seul. Du matin jusqu’au soir, il attendait un coup de téléphone d’un avocat, ou une lettre d’un notaire qui lui annoncerait la bonne nouvelle. Jamais il ne sortait de chez lui, il ne faisait qu’attendre ! J’ai eu cet homme en analyse pendant huit ans !
– Et quel résultat as-tu obtenu ? S’enquiert le confrère.
– Ça a été un mano a mano chaque jour pendant huit années, mais finalement, je suis parvenu à le guérir… Et c’est alors que cette lettre stupide est arrivée !