blague prostitution
La blague de la fabrique à femmes

C’est une vieille dame qui fait ses courses tout en promenant son petit-fils. Elle passe rue Saint-Denis mais juste avant le magasin dans lequel elle veut se rendre, il y a une maison close. Son petit fils lui demande :
– Mamie, qu’est-ce qui se passe, là ? Qu’est-ce qu’elles font toutes ces dames ?
– Rien du tout ! Elles discutent ! Elles ne font rien du tout !
Mais le petit-fils est quand même intrigué et le lendemain, il repose la question :
– Mamie, qu’est-ce qu’elles faisaient, les dames, devant la maison ?
– Rien du tout ! Je te l’ai déjà dit, rien, elles discutaient !
Le petit-fils insiste :
– Mais Mamie, qu’est-ce…
– Bon, je vais te le dire : c’est une maison… une maison où l’on fabrique les femmes !
L’après-midi, le petit garçon va se promener et quand il revient, sa grand-mère lui demande :
– Alors, tu t’es bien amusé ?
– Bah tu sais, Mamie, je suis allé dans la maison : je suis rentré et j’ai regardé comment ils fabriquaient les femmes ! Il y avait justement un monsieur qui était en train de faire une dame, mais il n’avait pas fini. Quand je suis arrivé, il était en train de faire le trou !
Le manteau de vison
– Oh! le beau manteau de vison, s’écrie la femme de chambre. Comment madame se l’est-elle procuré ?
– C’est très simple, explique sa patronne. J’ai rencontré un monsieur qui m’a donné les 3000 euros nécessaires.
Un mois plus tard, la domestique arrive avec un manteau de vison en tous points identiques.
– Comment avez-vous fait ? demande la patronne, fort étonnée.
– Comme madame, enfin, presque. Sauf que moi, j’ai rencontré trois cents messieurs qui m’ont donné 10 euros chacun.
La blonde de luxe
Un homme d’affaires est assis à un bar de luxe, quand il voit entrer une superbe blonde. Celle-ci s’approche de lui et lui murmure à l’oreille :
– Pour 200 euros, je fais tout ce que tu veux, à condition que tu puisses le dire en 3 mots maximum.
Le gars réfléchit quelques instants, sort 200 euros de son portefeuille et dit :
– Repeins ma maison.
Le restaurant routier avec des chambres garnies
Dans un restaurant de routiers où les serveuses ont coutume de « monter » avec les clients, un conducteur de poids lourd dit à la jeune femme qui vient de quitter son tablier blanc et sa robe noire pour s’allonger près de lui :
– Tu vois, je ne regrette qu’une chose : c’est que ta poitrine ne soit pas aussi ferme que le bifteck que tu m’as servi il y a une demi-heure.