blague poils

Enfin des poils

Une nana, un mec :
– Chéri ! Je suis épilée !
– Cool ! On va pouvoir faire enfin des trucs !
– Rhooo… Tu penses à quoi, coquinou ?
– J’sais pas, un paillasson ?

Les poils de la culotte

Un dimanche après-midi comme les autres. Deux papis prennent le soleil, assis sur un banc du jardin public, devisant tranquillement de tout et de rien, parlant politique et donnant du pain aux pigeons.
Une jolie jeune fille vient s’asseoir sur le banc en face d’eux. Les deux papis, toujours verts, braquent immédiatement leur regard vers l’entrejambe de la jeune fille qu’une mini-jupe version « ras-la-touffe » ne cache pas vraiment.
– Je ne vois pas bien d’ici… Tu penses que c’est sa culotte qu’on voit ou ses poils ?
– Je te parie que ce sont ses poils ! C’est le genre de fille à ne pas porter de culotte. Je te parie qu’elle est chaude, chaude, chaude… T’as vu comme sa jupe est courte !

Ils en sont là depuis dix minutes à ne pas pouvoir trancher la question, lorsqu’un petit gamin passe près d’eux, son ballon à la main.
– Hé petit ! Ça t’intéresse de gagner dix euros ?
– Ben oui monsieur ! Mais ma maman m’a dit de ne pas accepter de trucs de la part de vieux messieurs qui…
– Ola gamin !!! Ça n’a rien avec ça ! Mon copain et moi, on a fait un pari sur la demoiselle que tu vois là-bas. Tu vas t’approcher d’elle, et tu vas envoyer ton ballon dans ses jambes. En allant le rechercher, tu lèveras les yeux et tu regarderas si tu vois des poils ou bien une culotte. Moi je parie qu’elle a une culotte et si j’ai tort, je te donnerai dix euros. Mon copain pense que ce sont ses poils qu’on aperçoit d’ici, et il te donnera dix euros il a tort. D’accord ?
– Là, OK !

Le gamin fait ce qui était convenu, et une minute plus tard, il revient voir les vieux en rigolant :
– Vous me devez dix euros tous les deux !
– Pourquoi ? Qu’est-ce que tu veux dire ?
– Ce que vous voyez d’ici, ce n’est ni sa culotte, ni ses poils : ce sont des mouches !

Le talent des sœurs Williams

Les deux sœurs Williams sont au vestiaire avant le match.
– Tu sais, Serena, depuis quelques temps, je me demande si notre père ne verse pas des stéroïdes dans nos boissons.
– Ah bon ? Pourquoi dis-tu ça, Venus ?
– Ben, je m’inquiète un peu ; je commence à voir pousser des poils là où je n’en avais pas avant.
– Où ça ?
– Sur les couilles…

Les poils de la Guerre Froide

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Il y a quelques années, pendant la guerre froide, Ivan avait la double fonction de diplomate russe et d’espion. Il était arrivé six mois plus tôt aux Pays-Bas, lorsqu’il éprouva le besoin de se confier à Boris, son secrétaire personnel :
« J’ai besoin d’une fille Boris. Je n’y tiens plus. Six mois sans une petite Petrouchka, c’est trop ! »

Le jour suivant, Boris appelle une call-girl pour son patron. Ivan la reçoit avec ce qu’il faut de vodka et de caviar pour un minimum de convivialité. Alors que la fille enlève son haut, Ivan remarque qu’elle s’est rasé les aisselles. Étonné, il montre ses propres aisselles et lui confie :
« Chez nous, les femmes ont des poils à cet endroit. »

La fille lui répond gentiment :
« Chez nous, c’est la mode de se raser les aisselles. Les hommes préfèrent ça. »

Ils boivent encore un peu de vodka, et la fille enlève ses bas. En passant la main sur le galbe de ses mollets, Ivan découvre que la peau est aussi lisse et douce que celle des fesses d’un bébé. Il s’étonne à nouveau :
« Chez nous en Russie, les femmes ont des poils ici aussi ! »

Une fois de plus, la fille répond :
« Eh bien ici, les femmes ont l’habitude de se raser ou de s’épiler les jambes. »

Un verre de vodka et quelques cuillères de caviar plus tard, la fille retire sa culotte et Ivan au comble de l’effarement constate qu’elle a les poils pubiens presque complètement rasés eux aussi ! Il y va à nouveau de son couplet sur les femmes russes :
« Chez nous en Russie, les femmes ont beaucoup plus de poils que ça à cet endroit ! »

Alors la fille s’énerve et lui répond :
« Écoute Tovaritch, si tu préfères tricoter, c’est une brebis qu’il te fallait, pas une fille ! »