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Réflexions sur la vie

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Nous avons des édifices plus hauts mais de moins belles vues ; des salaires plus élevés mais moins de sécurité ; de plus grandes maisons mais de plus petites familles ; plus d’appareils ménagers mais moins de temps et de repos ; plus de diplômes et de titres mais moins de bon sens ; plus de savoir et d’informations mais moins de jugement ; plus d’experts, plus de problèmes, plus de médecins, moins de soins, plus de remèdes mais plus de maladies. Nous avons multiplié nos possessions mais réduit nos valeurs ; réussi dans la vie mais pas notre vie ; ajouté des années à la vie mais pas de vie aux années ; nous allons sur la lune mais nous sommes incapable de parler à nos voisins ; nous avons des revenus plus hauts mais le moral plus bas.

C’est le temps des fast food et des digestions lentes, des hommes plus grands et des caractères plus faibles, des loisirs plus nombreux avec moins de plaisir ; des voyages éclairs et des aventures d’un soir, des pilules pour rire ou pour s’endormir, des bébés éprouvettes, des clonages et des opérations d’un jour. C’est le temps des grandes technologies : ce message vous est parvenu à la vitesse de l’éclair. Vous pouvez le supprimer rapidement ou le méditer doucement et changer peu à peu…

À vous de décider !!

Réflexions sur le bonheur

On se persuade souvent soi-même que la vie sera meilleure après s’être marié(e), après avoir eu un enfant et, ensuite, après en avoir eu un autre.

Plus tard, on se sent frustré(e) parce que nos enfants ne sont pas encore assez grands et on pense que l’on sera mieux quand ils le seront. Puis, on se frustre parce qu’ils sont adolescents et que c’est une étape difficile à vivre pour nous. On est alors convaincu(e) que l’on sera plus heureux quand ils auront passé cette étape. On se dit que notre vie sera complète quand les choses iront mieux pour notre conjoint(e), quand on possédera une meilleure voiture ou une plus grande maison, quand on pourra aller en vacances, quand on sera à la retraite.

La vérité est qu’il n’y a pas de meilleur moment pour être heureux que le moment présent. Si ce n’est pas maintenant, quand ? Ta vie sera toujours pleine de défis à atteindre et de projets à terminer. Il est préférable de l’admettre et de décider d’être heureux ce toute façon.

Le Philosophe Francis Raemy, conseiller en Ressources Humaines, bientôt en reconversion professionnelle a dit : Pendant longtemps, j’ai pensé que ma vie allait enfin commencer. La Vraie Vie ! Mais il y avait toujours un obstacle sur le chemin, quelque chose qu’il fallait résoudre en premier, un thème non terminé, un temps à passer, une dette à payer. Et alors, là, la vie allait commencer ! Jusqu’à ce que je me rende compte que ces obstacles étaient justement MA VIE. Cette perspective m’a aidé à comprendre qu’il n’y a pas un chemin qui mène au Bonheur. Le Bonheur EST le chemin. Ainsi, amasse chaque moment que tu as et, plus encore, quand tu partages ce moment avec quelqu’un de spécial, suffisamment spécial pour partager ton temps, et rappelle-toi que le temps n’attend pas.

Alors arrête d’attendre de terminer l’école, qu’on augmente ton salaire, de perdre 10 livres, de te marier, d’avoir des enfants, que tes enfants partent de la maison ou, simplement le vendredi soir, le dimanche matin, le printemps, l’été, l’automne ou l’hiver, ou de mourir, pour décider qu’il n’y a pas de meilleur moment que maintenant pour être heureux.

Le Bonheur est une trajectoire et non une destination. Alors :
– Travaille comme si tu n’avais pas besoin d’argent
– Aime comme si jamais personne ne t’avait fait souffrir
– Et danse comme si personne ne te regardait.

La philosophie des pierres

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Un jour, un vieux professeur de l’école nationale d’administration publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d’une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines.

Ce cours constituait l’un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n’avait donc qu’une heure pour passer sa matière. Debout, devant ce groupe d’élite (qui était prêt à noter tout ce que l’expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit :
« Nous allons réaliser une expérience. »

De sous la table qui les séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot Masson d’un gallon (pot de verre de plus de 4 litres) qu’il posa directement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le gros pot.

Lorsque le pot fut rempli jusqu’au bord et qu’il fut impossible d’y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves leur demanda :
« Est-ce que ce pot est plein ? »

Tous répondirent: « Oui ! »
Il attendit quelques secondes et ajouta : « Vraiment ? »

Alors, il se pencha de nouveau et sortit dessous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de graviers s’infiltrèrent entre les cailloux… jusqu’au fond du pot.

Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et demanda :
« Est-ce que ce pot est plein ? ».

Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège. L’un d’eux répondit : « Probablement pas ! ».
« Bien ! » répondit le vieux prof.

Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de dessous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier.

Encore une fois, il demanda :
« Est-ce que ce pot est plein ? ».
Cette fois, sans hésiter et en coeur, les brillants élèves répondirent : « Non ! ».
« Bien ! » répondit le vieux prof.

Et comme s’y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d’eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu’à ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda :
« Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ? »

Pas fou, le plus audacieux des élèves, songea au sujet de ce cours, répondit :
« Cela démontre que même lorsqu’on croit que notre agenda est complètement rempli, si on veut,… le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire ».
« Non » répondit le vieux prof. « Ce n’est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : Si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite »
Il y eut un profond silence, chacun prenant conscience de l’évidence de ces propos.

Le vieux prof leur dit alors :
« Quels sont les gros cailloux dans votre vie ? Votre santé, votre famille, vos ami(e)s, réaliser vos rêves, faire ce que vous aimez, apprendre, ….et moi !! Ce qu’il faut retenir, c’est l’importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir…sa vie. Si on donne priorité aux broutilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de broutilles et on aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie. Alors n’oubliez pas de vous poser à vous-même la question : Quels sont les GROS CAILLOUX DANS MA VIE ?… Ensuite, mettez-les en premier. »

D’un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle.