blague philosophie

Les déceptions de la fortune

– La fortune ne m’a apporté que des déceptions, raconte un multimillionnaire. J’avais d’abord acheté un yacht : à la première croisière, il coule, après s’être fracassé sur les rochers. J’achète un avion de tourisme : au premier voyage, il s’écrase en feu en me laissant juste le temps de m’en échapper en parachute. Là-dessus j’épouse la plus belle femme de Paris. Au soir de notre nuit de noces, je la trouve au lit avec mon chauffeur.
– Et alors, qu’en concluez-vous ?
– Si une chose flotte, vole ou baise, profitez-en tant que vous voulez mais ne cherchez surtout pas à en devenir le propriétaire.

Pourquoi la poule traverse-t-elle la route ?

Vous vous êtes certainement déjà posé cette question si vous roulez de temps en temps sur les routes de campagne: Pourquoi la poule traverse-t-elle la route? (sous-entendu: devant ma voiture)

Voici quelques éléments de réponse.

1 ) Pourquoi la poule traverse-t-elle la route ?

Pour aller de l’autre côté.

Ou :

Parce que c’est trop long de faire le tour.

Ou encore :

Pour montrer au hérisson (ou à la grenouille) que c’est possible.

2 ) Pourquoi la poule traverse-t-elle la route ?

PLATON :
Pour son plus grand bien

KARL MARX :
C’est une obligation historique que la mentalité étriquée des petits-bourgeois esclaves de leurs préjugés ne saurait remettre en question.

DOUG HOFSTADTER :
Pour chercher une explication à la correspondance existant entre la représentation externe de l’objet-route et la conceptualisation interne de du concept-route.

MACHIAVEL :
De cette manière, ses sujets la considéreront avec admiration, comme une poule qui a le courage d’oser traverser la route; mais également avec peur, car lequel parmi est capable de rivaliser avec un tel parangon de la vertu avienne. De cette façon, la domination de la poule princière sera-t-elle maintenue.

HIPPOCRATE :
A cause d’un excès d’une humeur bilieuse, de couleur vert clair au niveau de la poche principale de son estomac.

H.P. LOVECRAFT :
Pour tenter dans un ultime effort de s’échapper aux forces ténébreuses qui la poursuivaient sans relâche, avides de s’emparer de chaque parcelle de son âme.

SAPHO :
Pour le goût de tes lèvres, la douceur de ta peau…

J.R.R. TOLKIEN :
La poule, illuminée par un rayon de soleil qui se reflétait sur sa radieuse livrée de plumes jaune-orangées, s’approchât de la route sombre et recouverte d’une asphalte a l’aspect menaçant. Elle la scruta longuement de ses yeux aux teintes d’obsidienne. Elle s’imprégnât de chaque détail, de la texture un peu rugueuse de la surface, soumise aux passages d’innombrables voitures, des vagues qu’exsudait l’asphalte sous l’effet de la chaleur. Puis elle traversa.

CARL JUNG :
La confluence des événements dans le gelstat culturel nécessitait que les poules traversent la route durant cette conjonction historique, entraînant synchroniquement une telle occurrence de l’état de non-existence a celui de réalité.

GARY GYGAX :
Parce que j’ai fait un 64 sur la « table des comportements aléatoires de poules » de la page 297 du manuel du maître de jeu

ALBERT EINSTEIN :
Que la poule ait traversé la route ou que la route ait traversé la poule dépend en fin de compte du référentiel dans lequel on se place.

BOUDDHA :
Si tu poses cette question, tu renies l’individu-poule qui est en toi (ou Poser la question dénonce notre propre nature de poulet).

DARWIN :
C’était l’étape logique après être descendue de l’arbre (ou Les poulets, si on les observe sur une très longue période, ont été naturellement sélectionnés de telle manière qu’ils puissent traverser la route).

EPICURE :
Pour rigoler.

SIGMUND FREUD :
La poule était bien évidemment de sexe femelle et interprétait par conséquence le poteau de signalisation comme un symbole phallique duquel elle a voulu se rapprocher.

WERNER HEISENBERG :
Nous ne sommes pas sûrs du côté duquel était la poule, mais elle bougeait très vite.

MONTY PYTHON :
Et Dieu descendit de son Paradis et dit au poulet « Il te faudra traverser cette route ». Et le poulet traversa la route, et il y eut beaucoup de réjouissances.

FOX MULDER :
Tu l’as vu traverser la route de tes propres yeux. Combien de poulets devront encore traverser la route avant que tu y croies enfin ?

BERNARD TAPIE :
Le poulet n’a jamais traversé la route pour aller déterrer les 20 000 francs du match VA-OM.

BILL GATES :
Nous venons de terminer le Poulet Windows 97, qui pourra non seulement traverser les routes, mais aussi pondre des œufs, manger du grain, servir de porte-documents, calculer sa ration d’aliments. La date de sortie est prévue pour le 1er trimestre 98. Enfin, il y aura peut-être un peu de retard…

OLIVER STONE :
La question n’est pas « Pourquoi le poulet a-t-il traversé la route ? » mais plutôt : « Qui traversait la route en même temps que lui ? » et que nous avons négligé d’observer parce que tous nos regards étaient tournés vers le poulet.

GRAND-PERE :
De mon temps, on se posait pas la question de savoir pourquoi le poulet traversait la route ! On roulait dessus, on le ramassait, on le vidait et on le bouffait à midi !

ERNEST HEMINGWAY :
Pour mourir. Sous la pluie.

ADOLF HITLER :
Pour étendre son lebensraum.

MARTIN LUTHER KING :
J’ai eu la vision d’un monde où tous les poulets seraient libres de traverser les routes sans que l’on ait besoin de leur demander pourquoi ils voulaient les traverser.

LE SPHINX :
Dites-moi.

ZENON D’ELEE :
Pour prouver qu’elle ne pourrait jamais atteindre l’autre côté

Dessin d'une poule qui explique pourquoi elle traverse la route
Pourquoi la poule traverse-t-elle la route ?

Définition de la femme

humour, blague sur les femmes, blague sur les définitions, blague sur la philosophie, blague sur la zoologie, blague sur les mathématiques, blague sur la géographie

Définition philosophique :

La femme est un sujet sur lequel l’homme aime s’étendre.

Définition zoologique :

La femme est un bel animal sans fourrure dont la peau est très recherchée.(Jules Renard)

Définition mathématique :

La femme est un ensemble de courbes qui fait lever une ligne droite.

Définition géographique :

La femme est comme le globe terrestre :

  • Avant 15 ans, elle est comme l’Antarctique ; intouchable.
  • Entre 15 et 25 ans elle est comme l’Afrique ; chaude, à moitié vierge et à moitié inexplorée.
  • Entre 25 et 35 ans elle est comme l’Asie ; Exotique et mystérieuse.
  • Entre 35 et 45 ans elle est comme l’Amérique : déjà bien connue, mais encore belle et pleine de ressources.
  • Entre 45 et 55 ans elle est comme l’Europe : traversée de long en large, et fatiguée, mais vous pouvez encore trouver des endroits intéressants
  • Entre 55 et 65 ans elle est comme l’Australie : Tout le monde sait ou elle se trouve mais personne ne pense réellement à y aller.

Être jeune

humour, citation de Douglas MacArthur, blague sur la jeunesse, blague sur les états d'esprit, blague sur la philosophie, blague sur les jeunes, blague sur l'imagination, blague sur la réceptivité

La jeunesse n’est pas une période de la vie
Elle est un état d’esprit, un effet de la volonté,
une qualité de l’imagination, une intensité émotive,
une victoire du courage sur la timidité,
du goût de l’aventure sur l’amour du confort.

On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années
on devient vieux parce qu’on a déserté son idéal.
les années rident la peau ; renoncer à son idéal ride l’âme.
Les préoccupations, les doutes, les craintes et les désespoirs
sont les ennemis qui, lentement, nous font pencher vers la terre
et devenir poussière avant la mort.

Jeune est celui qui s’étonne et s’émerveille. Il demande,
comme l’enfant insatiable : Et après ? Il défie les événements
et trouve de la joie au jeu de la vie.

Vous êtes aussi jeune que votre foi. Aussi vieux que votre doute.
Aussi jeune que votre confiance en vous-même.
Aussi jeune que votre espoir. Aussi vieux que votre abattement.

Vous resterez jeune tant que vous resterez réceptif.
Réceptif à ce qui est beau, bon et grand. Réceptif aux messages
De la nature, de l’homme et de l’infini.

Si un jour, votre cœur allait être mordu par le pessimisme
Et rongé par le cynisme, puisse Dieu avoir pitié de votre âme de vieillard.

D’après le Général MAC ARTHUR 1945