blague péteur

L’étude du pet

Il paraît que… les femmes pètent 5 fois moins que les hommes.

Des physiologistes Hollandais ont déterminé que :

  • Les nouveaux nés produisent leur premier pet 30 minutes après la naissance.
  • Manger trop rapidement, mâcher du chewing-gum, respirer anormalement, augmentent le volume des pets par 3 ou 4.
  • La moyenne quotidienne des pets d’un individu adulte en parfaite santé est de 14 pets par jours.
  • La quantité de gaz produit quotidiennement par un individu adulte en parfaite santé est de 13 à 15 litres.
  • Une altitude de 7 000 m augmente par trois ou quatre la production de pets d’un individu.

Quelques statistiques :

  • 12 % des Américains avouent avoir été tenté de mettre le feu à leurs pets et 3 % se sont brulé le cul. – 71 % des personnes avouent trouver du plaisir à péter en nageant.
  • 67 % déclarent lâcher leurs vents dans leur voiture ou les transports en commun-bus, métro et train.
  • 21 % des Américains avouent avoir pété dans leurs mains et la moitié reconnaissent qu’il s’agit d’un comportement anormal.
  • 96 % des enfants Hollandais avouent aimer péter à l’école pendant les cours.
  • 52 % des Américains et 49 % des Hollandais avouent ne pas revendiquer leurs pets et accusent une tierce personne.
  • 1 % des péteurs attendent que leur partenaire pète pour en faire autant.
  • 8 % des péteurs pètent devant leur chien pour s’amuser.
  • 1 % des péteurs font des concours de pets avec leur conjoint.
  • 0,5 % des péteurs trouvent irrésistible de péter dans les enterrements.
  • 7 % des péteurs s’amusent à péter dans l’eau du bain et un tiers de ceux-ci ont déjà tenté de récupérer le pet avec un verre placé à l’envers pour tenter de l’enflammer…

La blague des types de péteurs

Le péteur aimable :
Apprécie les pets des autres. Goûte particulièrement leur odeur.

Le péteur ambitieux :
Souhaite que ses pets soient plus bruyants et plus odorants que ceux de ses voisins.

Le péteur asocial :
S’excuse et se retire pour péter. Prend son après-midi de congés lorsqu’il mange du cassoulet.

Le péteur brute :
Pète plus fort qu’aucun autre.

Le péteur déçu :
Fait des pets qui ne sentent pas.

Le péteur économe :
A toujours plusieurs pets en réserve. Ne les distille qu’en cas d’absolue nécessité.

Le péteur embarrassé :
A le visage tellement ravagé que le pet ne sait pas de quel côté aller.

Le péteur finaud :
Accompagne son pet d’un rire sonore et d’une bonne claque sur le dos de son voisin.

Le péteur geek :
S’insère un filtre à charbon dans le caleçon avec silencieux incorporé pour être dans l’air du temps.

Le péteur gêné :
Pète silencieusement, souffle en mettant sa bouche en coin pour chasser l’odeur. Rougit tel une pivoine.

Le péteur goujat :
Admet que c’était la maîtresse de maison qui a pété.

Le péteur honnête :
Admet avoir pété mais fournit une raison médicale.

Le péteur hyperactif :
Saute en air, pète trois fois et claque ses talons simultanément.

Le péteur hypersensible :
Pète et se met à pleurer (surtout s’il a mangé beaucoup d’oignons).

Le péteur idiot :
Pète tout en faisant des gloussements bébêtes.

Le péteur ignorant :
Est persuadé que ses pets ne puent pas.

Le péteur insensé :
Retient ses pets pendant des heures. A toujours la nausée et le teint verdâtre en fin de journée.

Le péteur insolent :
Pète effrontément, se tape les mains sur les cuisses en riant.

Le péteur intellectuel :
Pète au moindre effort physique. Fait des statistiques avec ses pets de la journée.

Le péteur joueur :
Pète dans sa baignoire et filme la remontée des bulles au caméscope.

Le péteur malheureux :
Essaie de péter – n’y parvient pas – Au lieu de cela, fait caca dans sa culotte.

Le péteur musicien 1 :
Ténor ou baryton – Pète d’un son pur comme l’eau claire – sent comme la merde, tonne comme l’enfer.

Le péteur musicien 2 :
Suit des règles alimentaires très strictes pour entraîner sa voix plusieurs fois par jour. Invite parfois ses collègues à faire un « bœuf ».

Le péteur négligé :
Pète, pétille et pétronne – finit par en pourrir son caleçon.

Le péteur nerveux :
S’arrête au beau au milieu d’un pet.

Le péteur orgueilleux :
Prend son rectum pour une parfumerie. Trouve ses pets très raffinés.

Le péteur prévoyant :
S’excuse avant de péter.

Le péteur professionnel :
Est capable d’après l’odeur des pets de ses voisins de dire ce qu’ils ont mangé.

Le péteur rouspéteur :
Bougonne quand les dames pètent.

Le péteur sadique :
Pète dans son lit et chasse l’air en secouant les couvertures vers sa compagne ou compagnon.

Le péteur sage :
Pète et demande « Mais qui diable a fait caca ? »

Le péteur scientifique :
Pète régulièrement mais s’inquiète sur l’augmentation du trou de la couche d’ozone.

Le péteur sournois :
Pète et accuse le chien ou le chat.

Le péteur sympa :
Saute devant vous pour péter et vous en faire profiter.

Le péteur vaniteux :
Pense qu’il est celui qui pétera le plus fort – et fait de multiples essais. Aime l’odeur de ses pets.

La blague du péteur fou

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Ca se passe lors d’un dîner très classe.

Un invité se trouve être très encombré de gaz digestifs, et il ne souhaite qu’une chose, c’est de pouvoir s’en libérer au plus tôt.

A bout de résistance, le sphincter fatigué, il laisse partir un premier pet en essayant d’en limiter le bruit… Mais peine perdue : Le PROUT est audible par toute l’assemblée !

Cependant, avant que le gars ait le temps de rougir, la voisine d’en face dit en regardant sous la table (où dort son corniaud) :
« Kiki fais attention ! »

Soulagé, mais les intestins toujours remplis de gaz, le convive péteur reprend un peu plus sûr de lui par un joli « PRRROUTTT ».

Et ça ne rate pas, la voisine d’en face dit tout de suite à son chien aussitôt :
« Kiki, bon sang je t’ai dit de faire attention ! »

Encore plus sûr de lui, le gars laisse la machine s’emballer et l’on entend un « PPRRRROOAAAOUTTT » de la mort qui pue.

Et alors la proprio du chien lui dit :
« Kiki, tu ferais mieux d’aller ailleurs maintenant, sinon le monsieur va finir par te chier dessus ! »