blague Pape
Le Pape au Paradis
Le pape meurt et arrive au paradis. Il frappe à la porte et se retrouve nez à nez avec un ange à la mine féroce :
– Euh, bonjour, je suis le pape, je voudrais entrer au paradis ?
– C’est qu’on n’entre pas comme ça, et puis d’abord qu’est-ce que c’est, un pape ?
– Ben je suis le successeur de Saint Pierre, quoi ! D’ailleurs ce ne serait pas vous, Saint Pierre ?
– Moi, pas du tout, je suis Gabriel.
– Bon… Mais vous connaissez sûrement les Chrétiens, quoi, l’Église ? Eh bien moi, je suis le chef de l’Église.
– Vous pouvez être chef de ce que vous voulez, ça ne change rien ici.
– Enfin, demandez au moins à votre Patron, Il doit être au courant, Lui.
L’ange va voir le Patron et lui expose la situation.
– Comment tu dis ? Le pape ? Non, ça ne me dit rien.
– Il a dit aussi qu’il était le chef des Chrétiens.
– Attends, oui, ça me rappelle bien un truc. Ah, oui ! C’est le fan club que le fiston a fondé il y a 2000 ans. Ça marche toujours ?
le grand rabbin et l’élection du Pape
A chaque fois qu’un pape est élu, il y a tout un rituel prévu avec des cérémonies, des présentations du nouveau pape aux autres chefs religieux etc…
En particulier, peu de temps après l’élection du nouveau pape, il est d’usage que le grand rabbin demande une audience au pape et soit reçu par lui au Vatican.
La tradition veut que le rabbin se présente avec un plateau d’argent sur lequel est disposé un coussin de velours. Sur le coussin lui-même est disposée une enveloppe parcheminée qui semble être extrêmement vieille.
Lorsque le rabbin s’avance vers le pape avec ce plateau, le pape est censé étendre son bras en signe de rejet. Puis le grand rabbin doit se retirer, et ne doit renouveler cette cérémonie que lorsqu’un nouveau pape est élu…
Lorsque Jean-Paul II eut à accomplir ce rituel, il se posa la question de savoir ce que signifiait ce rite. Il questionna les archivistes du Vatican, mais tout ce qu’ils purent lui répondre, c’est que ce rite existait depuis très très très longtemps.
Alors, le jour où le grand rabbin arriva, le pape joua le rituel tel qu’il devait être joué, mais alors que le grand rabbin tournait les talons pour partir, Jean-Paul le rappela en lui disant :
– Mon frère, je dois vous confesser que ce rituel que nous venons d’accomplir, et qui semble s’être déroulé depuis des siècles entre papes et grands rabbins, a une signification qui m’échappe totalement. Je comptais sur vous pour m’expliquer quelle était la signification de tout ceci.
Mais le grand rabbin lui répondit en baissant les épaules montrant son impuissance :
– Je n’en sais malheureusement pas plus que vous à ce sujet.
Alors le pape dit :
– Accompagnez-moi dans mes appartements privés: je vous offrirai de partager un verre de vin, et si vous êtes d’accord, nous ouvrirons ensemble cette enveloppe pour enfin découvrir ce qu’elle cache.
Le rabbin acquiesça.
Une fois dans les appartements papaux, devant un verre d’asti, le rabbin saisit l’enveloppe, l’ouvre et en extrait un très très vieux parchemin de ses doigts rendus tremblants par l’émotion…. et lorsque le parchemin est déplié, le Grand Rabbin et le pape constatent que c’était l’addition pour le dernier repas de Jésus avec ses apôtres…
La blague de l’arthritique

Un gars qui empeste l’alcool s’affale sur le siège d’un wagon de métro. A côté de lui, un curé. La tenue du gars qui a bu laisse à désirer : Sa cravate est maculée de tâches, son visage et son col de chemise portent des empreintes de rouge à lèvres, et il y a même une bouteille de whisky qui dépasse de la poche de sa veste.
Le gars, qui n’est pas complètement bourré, prend son journal et se met à lire. Après une minute, il se tourne vers son voisin de fauteuil, le curé, et lui demande :
– Dites mon Père, à quoi c’est du l’arthrite ?
Le curé répond :
– Mon fils, je dirai que l’arthrite est due à une vie complètement dissolue, comme par exemple, sortir avec des filles de mauvaise vie, boire trop d’alcool, manquer de respect envers son prochain !
Le gars répond « Incroyable. Que Dieu me damne ! » et il se replonge dans son journal.
Un peu plus tard, le curé reprend la parole et lui dit d’un ton plus aimable :
– Je suis désolé. Je ne voulais pas avoir des paroles si rudes envers vous. Depuis quand souffrez-vous d’arthrite ?
Et le gars lui répond :
– Ce n’est pas moi, mon Père. C’est le Pape, c’est ce qu’ils disent dans le journal.
Le rabbin, le prêtre et l’évolution de carrière
Un rabbin et un prêtre se retrouvent face à face dans un compartiment de train. Le rabbin se penche vers son confrère et lui dit :
– Dites-moi un peu, comment peut-on gravir les échelons dans votre organisation ?
Le prêtre lui répond :
– Disons qu’avec un peu de chance, je pourrai devenir évêque.
– Et il est possible d’avoir un « grade » plus élevé ?
– Heu, peut-être que si mon travail est extrêmement bien vu et avec le soutien de certains, je pourrai ensuite passer archevêque.
– Mais peut-être pourriez-vous aller encore plus haut ?
– Hem… Avec l’aide de tous les saints, et de très bons appuis, il est toujours possible ensuite de viser Cardinal.
– Mais il y a encore plus haut que cardinal ?, continue le rabbin
– Ça veut dire que d’autres cardinaux m’auront élu Pape, mais là…
Alors le rabbin lui dit :
– Mais dites-moi, il y a encore au dessus de Pape ! Non ?
– Quoi ? Vous voulez dire être le Messie lui-même ?
Alors le rabbin se laisse aller au fond de son siège et répond :
– Pourquoi pas ? Un des nôtres l’a fait…