blague ouvrier

La vengeance du marteau-piqueur

Le chef des services municipaux s’étonne en voyant, un matin, un de ses ouvriers en train de défoncer un trottoir avec son marteau-piqueur.
– Je ne savais pas, lui dit-il, qu’il y avait là une canalisation à dégager.
– Il n’y en a pas, chef. Mais je suis juste sous les fenêtres de mon voisin de palier, qui vient de se coucher après m’avoir empêché de dormir toute la nuit, en recevant une bande de débiles comme lui. Alors, je lui rends la monnaie de sa pièce.

L’accident d’oreille de Rachid

Sur le chantier de construction d’un immeuble de bureaux, le vent qui soufflait en rafale vient de provoquer la chute d’un échafaudage.

Tout de suite, on ramasse les pauvres gars qui se sont fracassés au sol, et parmi eux Rachid, dont l’oreille a été arrachée pendant l’accident.

Rachid est emmené aux Urgences pendant que ses collègues se mettent à la recherche de l’oreille parmi les gravats et les tubes de métal enchevétrés.

Après une heure d’attente à l’hôpital, un des travailleurs du chantier arrive avec une oreille à l’intérieur d’un sac de plastique rempli de glaçons.

L’équipe chirurgicale peut donc réimplanter l’oreille du pauvre Rachid. Quelques heures après l’opération, quand l’infortuné Rachid se réveille, il est encore dans le cirage. Aussitôt il va devant un miroir et commence à enlever ses bandages… En un instant il pousse un hurlement :
« CI PAS MON OREILLE… CI PAS MON OREILLE !!! »

L’infirmière de garde arrive, lui dit de se calmer et lui assurre que l’oreille qu’on lui a greffée est la sienne car elle a été retrouvée par un de ses collègues de chantier.

Mais rachid répond :
« Ci pas mon oreille. la mienne, y avait crayon dessus ! »

Le bonheur d’avoir une femme

Deux ouvriers discutent :
– Ah quel bonheur que d’avoir une femme comme la mienne, quand on rentre chez soi après une dure journée de labeur…
– …et de savoir qu’elle t’attend ?
– Non, de savoir qu’elle est sortie !

La brouette qui faisait couic couic

Un travailleur immigré officie comme manoeuvre sur un chantier de construction. Un jour, il va voir l’intendant du chantier :
– Chef ça va pas, la brouette elle fait « couic…couic…couic…couic », et ça me casse les oreilles. Il faudrait di l’huile…
– Va demander l’autorisation au contremaître à côté mon gars. fait l’intendant.
– Heu missié le contremaître, ji voudré dé l’huile pour ma roue di la brouette… elle fait « couic…couic…couic…couic »
– Tu es renvoyé, viré, tu quittes le chantier immédiatement je ne veux plus te revoir ici.

L’ouvrier ne comprend pas et demande des explications :
– Mais ji comprends pas, chef, ji viens juste ti signaler que la brouette elle fait du bruit et toi ti veux me renvoyer, pourquoi ?
– Parce que ta brouette c’est pas « couic…couic…couic…couic » qu’elle devrait faire mais « COUIC-COUIC-COUIC-COUIC » (en prononçant très vite)