blague nudité

Le satyre d’en face

Une femme va porter plainte au commissariat de son quartier :
– Depuis une semaine, un homme, dans l’immeuble en face, se met tous les jours tout nu à la fenêtre !

Le commissaire se rend chez elle pour faire un constat et voit effectivement le bonhomme, torse nu :
– Il n’y a pas de mal à ça, ma petite dame !
– Vous n’avez qu’à monter sur la chaise, vous verrez !

Gare à la nudité !

Le maître de maison sermonne la petite bonne :
– Il faut frapper avant d’entrer… on ne sait jamais, je pourrais être nu !
– Que Monsieur se rassure, je regarde toujours par le trou de la serrure avant d’entrer !

La piqûre de guêpe

Les perles : la police

Une femme téléphone pour signaler qu’un homme s’est présenté nu chez elle pour réclamer des soins. Il se plaignait d’une piqûre de guêpe. Refusant des comprimés homéopathiques, la « victime » a demandé à son interlocutrice de lui passer de la pommade sur la blessure. Devant le refus de cette dernière, il est reparti sans insister. Il faisait chaud ce jour-là…

La blague des ballons du Paradis

Ce matin-là, le petit Toto entre dans la salle de bains pendant que sa maman est en train de prendre un bain.

L’air très intrigué, le gamin pointe du doigt les seins de sa mère et demande :
– Maman, maman ? C’est quoi ça ?
– Eh bien mon petit chéri, tu vois, c’est des sortes de ballons. Et quand on meurt, ces ballons se mettent à gonfler, gonfler, gonfler, et ils t’emmènent au Ciel, directement au Paradis…

Comme tout gamin, Toto se satisfait de cette explication et s’en va jouer tranquillement avec sa PlayStation.

Quelques jours plus tard, alors que sa mère est dans la cuisine en train de préparer un bon gros pot-au-feu, Toto arrive en courant l’air affolé et lance :
– Maman, Maman, viens vite il y a tatie Florence qui est en train de mourir !
– Quoi ? Qu’est-ce qui se passe ? Où est-elle ?
– Elle dans la remise du jardin, couchée par terre, il y a ses deux ballons qui sont sortis, et papa qui est en train de les gonfler pendant que tatie Florence crie « Oh mon Dieu je viens, je viens ! »…