blague morsures
Le quart du médecin
A onze heures du soir, un monsieur sonne à la porte du cabinet du médecin de son quartier. Il est obligé d’insister… Le médecin vient enfin ouvrir :
– Mais enfin, monsieur, vous savez bien que je ne consulte que jusqu’à dix-neuf heures !
– Bien sûr, docteur, mais le chien qui m’a mordu, lui, ne le savait pas !
Le Poulidor du catch
Joe a toujours été le numéro 2, le Poulidor du catch. Il a toujours rêvé de combattre le numéro 1, Le Destructeur, mais son entraîneur s’y est toujours opposé. Il faut dire que Le Destructeur connaît une prise secrète dont l’application a abrégé la carrière catchistique de ses 9 challengers précédents.
Joe insiste tant et tant cependant, que finalement, son entraîneur lui arrange un combat avec Le Destructeur.
Le combat commence. Rapidement Le Destructeur s’empare de Joe et s’applique à tenter sur lui sa prise secrète. A ce moment précis, l’entraîneur de Joe détourne la tête, sachant très bien ce qui va se passer…
C’est au moment où l’entraîneur a la tête tournée qu’il entend un rugissement, immédiatement suivi de la clameur de la foule. Il se retourne alors pour contempler le désastre… et voit que Joe est parvenu à balancer Le Destructeur par dessus les cordes du ring !
Le combat est très vite terminé, au bénéfice de Joe bien sûr ; de retour aux vestiaires, l’entraîneur demande à Joe comment il a réussi ce prodige. Joe lui répond :
– J’étais la tête en bas, la taille broyée dans les bras du destructeur. J’étais sur le point d’abandonner toute résistance, quand soudain j’ai vu une paire de couilles. Je savais que c’était ma seule chance de lui faire lâcher prise, alors comme les couilles étaient à portée de mes dents, j’ai mordu dedans un bon coup.
– Wow, dit l’entraîneur, quelle présence d’esprit ! Je te félicite, même si ce n’est pas très fair-play, en tous cas, ça a été efficace !
– Oui, répond Joe, c’est incroyable ce qu’un homme parvient à faire quand il mord ses propres testicules.
Nuit d’amour
Folles sont mes pensées envers toi, et brûlant mon désir de te serrer dans ma main, avec une soif de plaisir incontrôlable pour ce que tu m’as fait.
La nuit était chaude et calme, et j’étais dans mon lit quand, subrepticement, tu t’es approché. Tu as frôlé mon corps nu avec ton corps, sans la moindre pudeur. Tu t’es pressé contre moi et tu m’as mordu sans scrupule jusqu’à mes plus intimes recoins. Je me suis endormi. Quand je me suis réveillé, je t’ai cherché avec une ardente avidité, mais en vain.
Tu avais laissé sur mon corps et dans les draps des preuves irréfutables de ce qui s’était passé entre nous cette nuit-là.
Cette nuit, je me coucherai plut tôt pour t’attendre dans ce même lit. Quand tu arriveras, je veux t’étreindre avec fougue et impatience. Je veux te serrer avec toute la force de mes mains. Il n’y aura pas un millimètre de ton corps que mes doigts ne toucheront pas. Je n’aurai de répit que lorsque je te verrai à nouveau.
Ce n’est que comme cela que je t’éclaterai la gueule !!
Saloperie d’enculé de moustique de merde !!!!!!!!!