blague métiers
La polonaise du violoniste
Dans un café assez chic où les vieilles dames viennent prendre le thé, un violoniste entre en disant :
– Je vais vous interpréter une Polonaise.
Le silence se fait. L’homme commence à jouer mais il joue très mal, c’est une véritable horreur, on dirait un chat qu’on égorge. Toutefois, son morceau terminé, le violoniste, très fier, annonce :
– Je vais vous jouer une autre Polonaise.
Là, il y a un client qui se met à pleurer. Le violoniste lui dit :
– Je comprends pourquoi vous pleurez, c’est la nostalgie du pays ? Vous êtes Polonais ?
– Non, je suis violoniste…
Reprendre une vie sexuelle normale
Un chirurgien vient voir sa patiente le lendemain matin après l’opération. La patiente lui demande :
– Docteur, combien de temps devrais-je attendre avant de reprendre une vie sexuelle normale ?
Le chirurgien est stupéfait de la question, et après un silence il lui répond :
– J’avoue n’y avoir jamais pensé. Vous êtes la première qui me pose une question pareille après une opération des amygdales.
La blague des blessures du golf

Deux copines sont en train de jouer au golf par une belle matinée d’un samedi.
La première des deux balance son swing et… constate avec horreur que sa balle est allée directement sur un groupe de 4 hommes qui allaient jouer le trou suivant.
Naturellement, la balle est allée frapper un des hommes qui, sur le coup, porte immédiatement ses deux mains à son entrejambe, puis se laisse tomber et se tord de douleur par terre.
La femme s’empresse de rejoindre l’homme à terre. Tout de suite, elle s’excuse, et elle ajoute qu’elle est kinésithérapeute, et qu’elle lui offre ses services pour faire passer la douleur.
« Laissez-moi vous aider, si vous me permettez, je vous enlèverai toute douleur ! » lui dit-elle.
« Ummph, oooh, nnooonnn, ça va aller… J’en ai juste pour quelques minutes de douleur », lui répond-t-il alors qu’il est dans la position foetale, les mains serrées entre ses cuisses.
La femme prend alors sur elle-même de commencer à lui « soulager la douleur »… Elle lui masse doucement et consciencieusement l’aine. Evidemment, le gars se laisse faire.
Après quelques minutes elle demande :
« Alors, ça fait du bien ? »
L’homme la regarde et répond :
« Oui, c’est bon… Mais mon pouce me fait toujours aussi mal, lui ! »