blague menu
Vantardise chinoise
Un type invite sa fiancée au restaurant chinois. Comme il veut l’impressionner en faisant croire qu’il sait lire le chinois, il prend le menu et dit au serveur :
– Pour commencer, vous allez nous donner ça.
– Oui, monsieur.
– Ensuite, on prendra ça.
– Et pour finir ça.
– Ah non pas cela.
– Pourquoi il n’y en a plus ?
– Non, c’est le nom du patron.
Lecture rapide asiatique
Revenant d’une formation de deux semaines en Asie, un jeune cadre étale ses fraîches connaissances devant ses parents qu’il a invités au restaurant thaïlandais. Sans risquer de s’essayer à prononcer le nom des plats, il indique au serveur d’un index les éléments du menu qu’il compose.
– Une fois qu’on a quelques bases, explique-t-il avec suffisance, tout coule de source.
Et d’en rajouter en demandant au garçon :
– Ah, par contre, là, c’est une variante que je ne connais pas bien, l’accommodement diffère peut-être ?
Le serveur se penche et le rassure :
– Oh ! Ça ne change rien à la recette, ça indique seulement que le service est compris.
Le restaurant judiciaire
Les perles : la justice
Un restaurateur voisin du palais de justice a une idée ingénieuse : confectionner un menu entièrement voué à la cause judiciaire. La nouvelle carte du chef est ainsi baptisée « Le panier à salades ».
Le client a le choix entre « le prévenu » (salade à base de chèvre chaud), « le faux témoin » (à base de fêta et d’olives noires), « l’alibi » (salade verte accompagnée d’œufs), « le verdict » (lardons et croûtons) et « le sursis », soit le droit d’attaquer directement par un plat dit « de résistance ».
Point « d’avocat vinaigrette » ni « d’avocat aux crevettes ». Plutôt discret, l’avocat n’est présent que dans une seule salade, « la relaxe », le chemin le plus court qui mènera à une saine digestion. Quant à la carte des sucreries, elle est joliment baptisée « Desserts en cavale ». Dans l’hypothèse où vous n’auriez eu droit ni au « panier à salades » ni au « sursis ».