blague médicaments

La tristesse de l’écossais qui perd sa belle-mère

Un Ecossais, qui vient de perdre sa belle-mère, est secoué de sanglots.
– Allons, allons, lui dit un ami, remets-toi. Evidemment, c’est une terrible perte que tu as subie là.
– Oh ! là ! là ! gémit l’Ecossais, pire encore que tu ne peux l’imaginer. Figure-toi que la semaine dernière, le pharmacien m’avait vendu pour elle une boîte de pilules et qu’il se refuse absolument à me reprendre celles qui restent.

La pilule de l’amour

Docteur, il faut que vous m’aidiez… Ma femme n’aime plus faire l’amour. Vous n’auriez pas quelque chose, un médicament, des comprimés que je pourrais lui donner ?
– Ecoutez non, je ne peux vraiment pas…
– Docteur, on se connaît depuis quoi, 15 ans maintenant ? Est-ce que vous m’avez déjà vu dans cet état là ? Non bien sûr ! Je suis désespéré. Je n’arrive plus à me concentrer, ma vie est devenue un enfer.

Alors le Docteur se lève, va jusqu’à une étagère et prend une boite de comprimés. Puis il donne la boite au gars en disant :
– Normalement, je ne fais jamais ça. Ces pilules n’ont pas d’A.M.M. et tout cela est expérimental. Les premiers tests effectués montrent déjà qu’elles sont très très puissantes… Alors vous allez en donner UNE à votre femme. C’est bien compris, hein ? UNE SEULE.
– Docteur, elle est vraiment devenue TRES TRES froide vous savez. Vous pensez qu’une seule pilule suffira ?
– Une seule. Vous n’aurez qu’à la mettre dans son café par exemple: elle ne sentira pas le goût.
– D’accord docteur.

Le gars paie la consultation et rentre chez lui plein d’allégresse. Lorsque le dîner est terminé, il profite de ce que sa femme est repartie à la cuisine pour mettre une pilule dans le café de sa femme… puis après avoir hésité, il met une deuxième pilule dans le café…

Et à ce moment, il commence à être pris de remords en repensant à ce que lui a dit le médecin : les pilules sont très très puissantes…Alors il trouve la solution à son dilemme: il se verse lui aussi une pilule dans son café. Sa femme revient alors prendre le café à la table. Puis ils passent dans le salon, et là, après quelques minutes, la femme commence à se caresser doucement en soupirant, et puis d’une voix langoureuse elle murmure :
« Je veux un homme… »

Et le mari répond les yeux brillants :
« Moi aussi »