blague logeur de Daesh

L’enculage de Jawad Bendaoud

Les perles : Jawad Bendaoud

Après que quelqu’un dans la salle d’audience ai soufflé de dépit :
« Celui qui souffle, je l’attrape dehors, j’encule sa grand-mère, je vais tous vous enculer un par un, bande de fils de putes. Bande de fils de putes. »

(Jawad Bendaoud, alias Le logeur de Daesh, alias Century 21, alias Stéphane Plaza, lors de son procès le 30 novembre 2018)

Le Jawad Comedy Club

Le Jawad Comedy Club, fondé en 2015 par Jawad Benjaoud, alias « Jawad le logeur », alias « le logeur de Daesh », alias « Century 21 », alias « Stéphane Plaza », en représentation permanente dans toutes les bonnes prisons et les meilleurs tribunaux de France, dans les squats de Saint-Denis et en exclusivité sur BFMTV. Juste pour vous, un petit best of :

« Ils m’ont demandé si je savais faire des cocktail molotov, je leur ai dit que j’en savais rien je suis pas barman. »

« Effectivement je les ai entendu parler de grenade mais j’ai d’abord pensé à ce délicieux fruit exotique. »

« – Moi ils m’ont juste dit qu’ils étaient dans la dèche
– « de Daesh » plutôt non ?
– Haaa c’est pour ça les flingues ! »

« Effectivement j’ai entendu qu’ils parlaient de balancer un truc lourd mais je pensais que c’était une mixtape. »

« Effectivement j’ai entendu qu’ils disaient Kalash est chargé mais je pensais qu’ils chantaient du Kaaris moi »

« Quand ils me disaient qu’ils allaient se faire sauter ce soir j’ai cru qu’ils allaient dans un club du Marais. »

« Quand ils m’ont parlé de Syrie je croyais, ils me parlaient de la voix de l’iPhone moi. »

« Quand le matin ils ont mis le lait avant les céréales c’est là que j’ai compris qui ils étaient vraiment. »

« Ils m’ont dit qu’ils allaient s’éclater à Lawak Bar, je leur ai répondu que j’les rejoignais peut-être dans la soirée. »

« – Quand ils m’ont dit qu’ils allaient éradiquer les cafards, j’ai dit banco.
– les kuffars plutôt …
– pardon ? »

« Quand ils parlaient de fusils je pensais qu’ils parlaient de mon cousin Fouzi. »

« S’ils m’ont parlé de l’attentat ? Heu… La tante à qui ? »

« Le gars a demandé à son pote s’il avait pris ses balles, je pensais qu’il voulait faire un tennis moi monsieur. »

« À un moment, ils m’ont dit « sors les kalach », je leur ai répondu que je n’étais pas un grand fan de Booba »

« Quand ils m’ont dit qu’ils travaillaient pour Daesh, j’ai d’abord cru qu’ils vendaient de la lessive. »

« C’est vrai qu’ils m’ont demandé si je savais faire une bombe, mais moi je pensais qu’ils allaient à la piscine. »

« Ils m’ont dit qu’ils avaient la TNT je pensais ils voulaient regarder touche pas à mon poste. »

« En arrivant, ils m’ont demandé si j’avais le Coran, j’ai dit oui oui l’EDF est passé hier matin. »

« Au début, ils m’ont dit ça va chier ! Je leur ai dit pas de problème, y’a du PQ. »

« Ils m’ont dit qu’ils allaient s’envoyer en l’air, j’ai cru que c’était une partouze ! »

« Ils parlaient souvent de la scierie… Wallah je pensais qu’ils travaillaient dans le bois et qu’ils étaient vosgiens moi. »

« Quand ils m’ont dit t’as kalash ? J’ai répondu 32 ans. »

« Ils m’ont dit qu’ils avaient besoin de chargeur, j’ai dit que j’avais un Samsung. »

« Quand ils parlaient de salles à fist… je pensais qu’ils parlaient du club « Le Rectum » pas loin. »

« Quand ils m’ont dit qu’ils cherchaient un hébergement, je pensais que c’était pour leur site Web. »

« Ils m’ont dit « c’est Daesh on va tout nettoyer » j’ai cru ils venaient faire ma lessive. »

« Ils m’ont dit qu’ils avaient une roquette. J’ai proposé de faire de la vinaigrette. »

« Quand ils m’ont demandé si y’avait du poulet dans le coin, moi j’pensais qu’y parlait d’un KFC. »

« A la base le poto m’a demandé si il pouvait ramener quelques bombes, vous savez moi je suis célibataire j’étais super chaud. »

« Ils m’ont dit qu’ils partaient pas sans leur ceinture, j’ai dit : « Evidemment, la sécurité avant tout ». »

« La fille me dit : « je vais me faire sauter » moi je pensais qu’ils allaient faire un gang bang, pas un attentat. »

« Ils m’ont dit : « ce soir on passe à l’Attac », j’leur ai demandé de me ramener du Nesquik. »

« Quand ils m’ont dit : « on va tout raser », j’pensais vraiment qu’ils parlaient de leurs barbes. »

« J’avoue, quand j’les ai vu arriver avec des bouteilles de gaz alors que j’ai des plaques induction, j’aurais dû tilter. »

« Quand ils ont parlé de se faire une terrasse, j’ai dit « prenez vos vestes les touristes, c’est fin novembre quand même ». »

« C’est vrai qu’ils parlaient de « C4 », mais j’ai d’abord pensé à la nouvelle Citroën. »

« Ils ont parlé d’A.K. moi je pensais qu’ils parlaient de rugby ! »

« Wallah quand ils m’ont dit qu’ils les voulaient saignants j’pensais qu’ils parlaient de la cuisson des steaks frère. »

« J’ai pas compris wesh pourquoi il y avait écrit Butagaz sur la couscoussière bleue. »

« Moi j’ai cru que Camille Kaz c’était son nom ! »

« Quand ils ont dit qu’ils voulaient shooter tout le monde… Wallah je pensais qu’ils allaient payer leur tournée moi ! »

« Bah j’sais pas moi quand je l’ai vu avec sa ceinture j’ai cru qu’elle voulait perdre du poids et qu’elle ferait du Sport-Elec. »

« Au début, ils m’ont dit ça va partir en sucette ! J’ai répondu pas de souci, j’ai des malabars, des schtroumpfs. »

« Quand elle a dit « j’vais exploser  » je savais pas moi je pensais qu’elle avait trop mangé monsieur. »

« Ils sont sortis des toilettes et ils m’ont demandé si je savais viser… je pensais juste qu’ils avaient remarqué les gouttes d’urine sur le rebord de la cuvette. »

La défonce de Jawad Bendaoud

Les perles : Jawad Bendaoud

« Madame, moi je vous le dis. Moi, quand je suis défoncé à la cocaïne. Je vous dis la vérité madame, il ne vaut mieux pas me voir. »

(Jawad Bendaoud, alias Le logeur de Daesh, alias Century 21, alias Stéphane Plaza, lors de son procès le 29 janvier 2018)

Jawad Bendaoud le profiler

Les perles : Jawad Bendaoud

« J’ai vu Abaaoud moins de dix minutes vous croyez que je suis profiler pour savoir ce qu’il a fait avant d’arriver chez moi. »

(Jawad Bendaoud, alias Le logeur de Daesh, alias Century 21, alias Stéphane Plaza, dans sa lettre à Jean-Marc Herbaut, juge à la section antiterroriste de Paris)