blague juif

Chacun son métier !

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Simon vend des frites dans la rue. Il reçoit la visite de Moshé, qu’il n’a pas vu depuis quelques années.
– Alors Simon, ça va ?
– Oui Moshé ça va.
– Ah ! Je suis content pour toi, Simon !
– Merci Moshé.
– Et tu ne me demandes pas comment ça va, moi ?
– Si je te le demande. Moshé, comment ça va ?
– Eh bien Simon, ça va pas bien. Je suis ruiné, je n’ai plus de quoi manger, ni payer mon loyer. Les huissiers sont chez moi tous les jours, ma femme veut se suicider.
– Ah c’est bien triste Moshé.
– Et toi, ton commerce, ça marche bien, Simon ?
– Oh tu sais, comme ci comme ça.
– Simon, on se connaît depuis au moins vingt ans, non ?
– Eh bien, depuis notre Bar Mitsva (communion, à l’âge de treize ans), j’ai trente-trois ans, ça fait vingt ans en effet.
– Simon, au nom de notre amitié, est-ce que tu pourrais me prêter cent euros ?
– Ah Moshé, ça aurait été avec plaisir, mais je ne peux pas, je n’ai pas le droit.
– Comment ça ?
– Tu vois la banque en face ? Nous avons passé un contrat. Le banquier m’a promis qu’il ne vendrait jamais de frites. Et je lui ai promis que je ne prêterais jamais d’argent.

Le complexe d’Œdipe

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Les parents du petit Samuel, les Bensimon, sont très inquiets, il semble souffrir de graves troubles mentaux. Ils l’emmènent donc voir un psy.

Le psy demande aux parents d’aller dans la salle d’attente afin qu’il puisse s’entretenir seul à seul avec leur fils. Au bout d’un quart d’heure il sort et dit aux parents :
– C’est très grave, votre fils fait un complexe d’Œdipe.

La mère répond :
– Un complexe d’Œdipe ? Oh c’est pas grave, du moment qu’il aime sa mère…

Le juif et le jour du poisson

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C’est l’histoire d’Abraham qui vient d’emménager dans une bourgade très catholique.

Et depuis qu’Abraham s’est installé à côté de l’église, tous les vendredi parmi les grenouilles de bénitier, c’est le branle-bas de combat parce que, au lieu de manger tout bonnement du poisson comme tout le monde, Abraham fait des steaks au barbecue dans son jardin.

Pas décidés à s’en laisser compter, les cathos du coin décident de convertir le juif au catholicisme. C’est dur, mais finalement, à force de menaces et de supplications, ils réussissent ; ils emmènent Abraham chez le curé qui lui balance quelques gouttes d’eau bénite sur le crâne et qui psalmodie :
« Tu es né juif
Tu as été élevé comme un juif
Tu es maintenant un catholique. »

À la fin de la cérémonie, c’est la liesse parmi les cathos. Ils pensent :
« Enfin ! Nous n’aurons plus à respirer ces odeurs de viande grillée le jour du poisson ! »

Mais le vendredi suivant, l’odeur du barbecue et de la viande grillée flotte dans tout le voisinage. Tous les cathos foncent directement chez Abraham pour lui rappeler à quel régime alimentaire il est censé souscrire le vendredi… Et ils le voient dans le jardin, en train d’arroser une entrecôte d’un peu d’eau et disant :
« Tu es né vache
Tu as été élevé comme une vache
Tu es maintenant du poisson. »