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La blague du voyage pour Mars

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La NASA passe en revue trois personnes ayant réussi les tests physiques pour séjourner dans l’espace, et qui pourraient bientôt être envoyées sur Mars.

Le voyage sera long, très long, et il se pourrait même que les astronautes ne rejoignent jamais la terre.

Ces trois personnes ont des métiers différents :

Le premier est un ingénieur. On lui demande combien il désire pour partir vers Mars.
Celui-ci répond :
« 5 millions d’euros. Ce sera pour faire un don à la recherche sur la fusion nucléaire. »

Le second est un médecin. On lui demande combien il désire pour partir vers Mars.
Celui-ci répond :
« 10 millions d’euros. Ce sera pour donner la moitié à ma famille et l’autre moitié pour faire un don à la recherche sur le cancer. »

Le troisième est un avocat. On lui demande combien il désire pour partir vers Mars.
Celui-ci se penche à l’oreille de l’interviewer et lui souffle :
« 15 millions de d’euros »

« Pourquoi autant ? Vous en demandez beaucoup plus que les deux autres ! » répond l’interviewer…

L’avocat répond :
« Si vous me donnez 15 millions, je vous donne 5 millions, je garde 5 millions, et on envoie l’ingénieur… »

Comment gérer des aveugles au golf

Un prêtre, un docteur et un ingénieur sont en train de jouer au golf ensemble. Ils suivent un autre groupe qui s’avère être extrêmement lent à jouer, et ils commencent à s’impatienter :

L’ingénieur :
« Qu’est-ce que c’est que ces gars ? ça fait déjà 15 minutes qu’ils sont à ce trou ! »

Le docteur :
« Je ne sais pas, mais ils feraient mieux de retourner au practice ! »

Le prêtre :
« Tiens ! Voilà le directeur du golf. Touchons-lui en deux mots. »

Le prêtre :
« Bonjour M. le directeur. Dites-nous, quel est ce groupe de personnes devant nous ? Ils sont vraiment très lents à jouer !? »

Le directeur :
« Oh oui. Ils sont aveugles en fait. Ils ont perdu la vue l’an dernier alors qu’ils essayaient de sauver le club-house des flammes. Du coup, nous les laissons jouer ici gratuitement, et pour tout le restant de leur vie ! »

(silence)

Le prêtre :
« C’est tellement triste. Je ferai une prière pour eux ce soir. »

Le docteur :
« Bonne idée. Et moi je vais contacter mon ami ophtalmologue pour voir si il ne peut rien faire pour eux. »

L’ingénieur :
« Euh, est-ce qu’ils ne pourraient pas jouer de nuit ? »

L’ingénieur système et son beeper

C’est un ingénieur système qui raconte :
– J’ai toujours un beeper dans la poche pour que si jamais il y avait un pépin, on puisse me joindre quelque soit l’endroit où je me trouve. Tu comprends, il faut pouvoir réparer très rapidement. Ce beeper, je l’ai depuis les années 80; avant c’était carrément un luxe. J’allais parfois au cinéma pendant mes heures de garde, et ce que je craignais arrivait parfois, mon beeper sonnait. Il y avait toujours quelqu’un derrière moi qui disait au moment où je me levais : « Lui ? un médecin ? ça m’étonnerait. »
– Maintenant, quand je vais au ciné et que mon beeper fait ce qu’il a à faire, derrière moi, quand je me lève j’entends : « Lui ? un dealer ? J’aurais jamais cru. »

Traduction du langage des ingénieurs informatiques

1 ) Nous allons inscrire ce projet au planning :
=> On s’en occupera si on n’a rien d’autre à faire.

2 ) C’est un programme complètement nouveau !
=> C’est pas du tout compatible avec l’ancienne version.

3 ) Ce programme ne nécessite aucune maintenance.
=> C’est impossible à déboguer.

4 ) Ce programme ne nécessite que peu de maintenance.
=> C’est quasiment impossible à déboguer.

5 ) Nous respecterons les standards !
=> On a toujours fait comme ça et ce n’est pas aujourd’hui qu’on va changer.

6 ) Nous tenons à respecter les standards !
=> Vous n’allez pas remettre en cause tout ce qu’on vient de faire !

7 ) La nouvelle version de ce programme est 100% compatible avec la précédente :
=> On n’a touché à rien…

8 ) Différentes approches on été tentées.
=> On essaye encore de deviner ce qui se passe.

9 ) On approche d’une solution.
=> On s’est réunis pour prendre un café…

10 ) Les tests préliminaires n’ont pas été franchement concluants.
=> Ce satané programme a planté dès qu’on l’a lancé…

11 ) Il va falloir abandonner le concept en son entier.
=> La seule personne qui y comprenait quelque chose vient de démissionner…

12 ) On prépare un rapport complet, selon une approche nouvelle.
=> On vient juste d’engager trois bleus sortis de l’école.

13 ) C’est une avancée technologique majeure :
=> On n’arrive toujours pas à comprendre pourquoi ça marche…

14 ) C’est le résultat d’années de développement.
=> On a enfin réussi à faire fonctionner un bout de programme.

15 ) C’est en cours…
=> On est tellement dans le pétrin que c’est sans espoir…

16 ) Faites-nous part de vos réflexions.
=> On écoutera ce que vous avez à dire tant que ça ne rement pas en cause ce qui est déjà fait, ou ce que nous avons décidé de faire.

17 ) Faites-nous part de votre interprétation.
=> On a hâte d’entendre vos imbécilités.

18 ) Nous allons y jeter un coup d’œil.
=> Laissez tomber ! On a déjà assez de problèmes comme ça…

19 ) Je n’ai pas reçu votre e-mail.
=> Ca fait des lustres que je n’ai pas vérifié ma messagerie…

Le nom de l’autochtone du Larzac

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C’est un jeune gars qui fait une randonnée à pied, et qui arrive dans un village paumé du Larzac. Il s’arrête pour causer deux minutes avec un gars du cru.

Dans la conversation, le jeune gars demande à l’autochtone comment il s’appelle. A ce moment là, l’autochtone s’énerve :
– Tu vois cette rangée de maisons là-bas ? Je les ai toutes construites, et est-ce qu’ils m’appellent Roger le bâtisseur ? Mon cul ! Tu vois ce pont sur la rivière ? C’est moi qui l’ai construit, et tu crois qu’ils m’appelleraient Roger l’ingénieur ? Mon cul ! Tu vois ces champs de maïs irrigués ? C’est moi qui les cultive et tu peux me croire, la récolte est bonne et tu crois qu’ils m’appelleraient Roger l’agriculteur ? Mon cul ! Mais, un jour, il y a très très longtemps, je me suis fait une brebis…