blague gros mots

Toto le vulgaire

Toto en classe (il lève le doigt) :
– M’dame, je peux aller pisser ?

La maîtresse (patiente) :
– Oui, mais la prochaine fois tâche d’être poli. Tu demanderas à aller aux toilettes.

L’après-midi, Toto lève le doigt pendant la classe :
– M’dame, je peux aller chier ?

La maîtresse (fâchée) :
– Toto, je t’ai expliqué ce matin comment le demander poliment, alors puisque tu ne veux pas comprendre, je vais convoquer tes parents.

Quelques jours plus tard, la mère de Toto se rend à l’école suite à la convocation. L’instit explique le langage grossier de Toto. La mère s’adresse alors à son fils présent, en ces termes :
– Toto, puisque tu n’es pas poli, tu seras privé de dessert. Tu vois j’avais fait une tarte grosse comme mon cul, avec des prunes grosses comme les couilles à ton père… Je veux bien me faire enculer si t’en manges une miette !

Et, se tournant vers l’institutrice, elle rajoute :
– Madame, en tous cas, c’est pas chez moi qu’il apprend tous ces gros mots !

Comment apprendre les injures françaises

– Quand je suis arrivé en France, raconte un Américain, je parlais bien votre langue mais il me manquait les gros mots.
– Et comment les avez-vous appris ?
– Très simplement. Je prenais un taxi. A l’arrivée, je payais le prix de la course et je donnais une pièce de 1 centime d’euro comme pourboire au chauffeur.

La vieille dame et le perroquet vulgaire

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C’est l’histoire de cette vieille dame un peu pingre qui veut s’acheter un perroquet. Alors elle va dans une animalerie et s’achète un ara que le vendeur lui garantit 100 % parleur.

Elle ramène l’animal chez elle, où par souci d’économie le chauffage ne fonctionne pas encore alors qu’il fait –5°C dehors, et elle installe Jacquot sur son perchoir. A peine est-il posé qu’il crie :
« PUTAIN QU’EST-CE QU’IL CAILLE ICI ! »

La vieille un peu surprise se dit qu’elle montera le chauffage. Mais le lendemain matin, alors qu’elle descend prendre son petit déjeuner, et que la température est un peu plus chaude, le perroquet lui crie en guise d’accueil :
« PUTAIN QU’EST-CE QU’IL CAILLE ICI ! »

Et ça dure comme ça plusieurs jours, et tout ça bien que la maison soit maintenant correctement chauffée. Alors finalement la vieille retourne à l’animalerie et demande au vendeur ce qu’elle doit faire pour calmer son perroquet. Le vendeur lui conseille le stress. Il lui dit :
– Dès qu’il vous sort ses gros mots, empoignez-le par les pattes et faites-le tournoyer plusieurs fois à bout de bras.

Dès le lendemain, le perroquet l’accueille avec son traditionnel :
« PUTAIN QU’EST-CE QU’IL CAILLE ICI ! »

Alors la vieille bien décidée à en finir l’empoigne par les pattes, lui fait faire 3 tours de manivelle puis le repose sur le perchoir. A ce moment, le perroquet ajoute :
« ET NOM DE DIEU, QUEL VENT ! »

Le prix des gros mots

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Un enfant revient de l’école et, tout fier, il lance à sa petite sœur un gros mot que lui a appris un copain. Sa grand-mère, le gronde :
– Mon chéri, c’est très laid, ce que tu viens de dire là. Tiens, je te donne cette belle pièce de 1 euro si tu me promets de ne plus jamais répéter ce vilain mot.
– Merci, mamie, fait le gamin, en empochant l’argent. Dis donc, puisque ça t’intéresse tellement les gros mots, j’en connais un autre qui va bien te coûter au moins un beau billet de 10 euros.

La pommade pour la bite

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Ahmed arrive à la pharmacie, il y a un monde fou. Au moment ou vient son tour il dit au pharmacien :
– Je voudrais une pommade pour la bite.

Le pharmacien l’emmène dans l’arrière boutique et lui dit :
– Écoute, Ahmed, ça fait 10 ans qu’on se connaît ; j’ai jamais eu de problème avec toi. Ça me dérange pas que tu dises des gros mots à voix haute, mais la il y a plein de vieilles bigotes dans la boutique, tu comprends ?
– Ouais, je comprends, mais c’est à la bite que j’ai mal ; comment je peux te le dire alors ?
– Eh ben, la prochaine fois tu dis que t’as mal au bras, et tu me fais un clin d’œil, je comprendrai.

La semaine suivante, même tableau dans la pharmacie :
– Salut Ahmed. Alors comment va ton bras ?
– Il va très bien merci, répond Ahmed en clignant de l’œil. Mais maintenant j’ai mal aux couilles.