blague fortune

Les besoins de la riche veuve

Une riche veuve décide qu’elle a besoin d’un autre homme dans sa vie, et fait passer une annonce dans les journaux :

RICHE VEUVE RECHERCHE UN HOMME POUR PARTAGER SA VIE ET SA FORTUNE avec les qualités suivantes :
1 ) ne me battra pas.
2 ) ne partira pas en courant.
3 ) devra être super au lit.

Pendant plusieurs mois, son téléphone n’arrête pas de sonner, ainsi que la sonnette de sa porte, elle reçut des tonnes de courrier, etc… Mais sans résultat.

Aucun des hommes ne semblait répondre à ses critères. Un jour on sonna à la porte de nouveau. Elle ouvrit et vit un homme sans bras ni jambes, couché sur le paillasson. Perplexe, elle demande :
– Qui êtes-vous et que voulez-vous ?
– Bonjour dit l’homme. Ne cherchez plus, je suis l’homme de vos rêves. Je n’ai pas de bras, donc je ne peux pas vous battre et puisque je n’ai pas de jambes je ne peux pas partir en courant.
– Qu’est-ce qui vous fait penser que vous êtes super au lit ?
– J’ai sonné à la porte, non !?

Les cowboys belges et les indiens

C’est l’histoire de deux immigrants belges en plein Ouest américain, au temps de la ruée vers l’or.

Il fait chaud, et ils se retrouvent à mendier une bière dans un saloon. Au même moment, un gars entre dans le bar en tenant une tête d’indien par les cheveux. Le gars s’approche du barman et il lui tend la tête. En contrepartie, le barman donne à ce gars une pépite d’or.

Les deux Belges demandent au barman des explications. Il leur répond :
– Vous savez les gars, j’peux pas blairer les indiens, et je donne une pépite d’or à celui qui peut m’apporter une tête des ces enfants de p…

Sans attendre la fin de la phrase, Willy et son copain Eddy prennent leurs colts et se mettent en selle.

Quelques temps plus tard, ils dénichent un indien isolé et le tuent. Eddy entreprend alors de lui couper la tête pendant que Willy fait le guet.

Rapidement, Willy vient taper sur l’épaule de son complice :
– Hé Eddy, je pense que tu devrais venir voir ça…
– Tu vois pas que je suis occupé.
– Non, vraiment, je t’assure que tu devrais venir voir !

Alors Eddy se relève, et regarde ce que son copain vient de lui indiquer du doigt: un bon millier d’indiens portant les peintures de guerre et tout le toutim, et se dirigeant dans leur direction !

Alors Eddy fait un clin d’œil à son pote :
– Ah la vache, pince-moi ! On va pas tarder à être millionnaires !

Les déceptions de la fortune

– La fortune ne m’a apporté que des déceptions, raconte un multimillionnaire. J’avais d’abord acheté un yacht : à la première croisière, il coule, après s’être fracassé sur les rochers. J’achète un avion de tourisme : au premier voyage, il s’écrase en feu en me laissant juste le temps de m’en échapper en parachute. Là-dessus j’épouse la plus belle femme de Paris. Au soir de notre nuit de noces, je la trouve au lit avec mon chauffeur.
– Et alors, qu’en concluez-vous ?
– Si une chose flotte, vole ou baise, profitez-en tant que vous voulez mais ne cherchez surtout pas à en devenir le propriétaire.

Les exigences navales de l’Emir

Le directeur d’un chantier naval répond à un émir du Moyen-Orient :
– D’accord pour vous construire un yacht de cent mètres de long, avec le pont recouvert d’or et les bastingages en argent massif. Mais, malgré tout mon désir de vous être agréable, et quel que soit le prix que vous consentiez à y mettre, je ne peux, malheureusement pas, vous vendre, pour votre usage exclusif, la Méditerranée.

Un astucieux entremetteur jésuite

Un jeune homme pauvre de la meilleure société se confie à son directeur de conscience, un jésuite.
– C’est épouvantable, lui explique-t-il, je voudrais épouser la fille de Durand, le grand fabricant de réfrigérateurs, mais je sais que ce beau rêve n’a aucune chance de se réaliser en raison de notre différence de fortune.
– En ce cas, répond le jésuite, je ne vois qu’un moyen : faites-vous couper ce que Pierre Perret a joliment baptisé les compagnes du « Petit Chose » : les deux orphelines.
– Jamais, rugit le jeune homme. Pas pour cent millions !
– Très bonne réponse, enchaîne le jésuite. Maintenant, laissez-moi aller voir votre futur beau-père. Je me charge de tout.

Et, quand l’industriel fait l’objection attendue :
– Mais votre protégé n’a pas de fortune…
– Pas de fortune ! proteste l’astucieux intermédiaire. Alors qu’il possède une propriété de famille dont, il y a encore moins d’une heure, je l’ai entendu, de mes oreilles, refuser cent millions !