blague fermier

La blague du coq maigrichon

Un fermier américain vient de perdre son valeureux coq. Il se rend alors au marché mais arrive un peu tard, malheureusement. Il commence à regarder les coqs qui restent mais il n’y en a plus qu’un, maigrichon, à demi affalé sur le bord de sa cage. Il s’avance vers le propriétaire et lui demande:
– Combien vous demandez pour le coq ?
– 500$
– 500$ ! Etes-vous malade ?
– Ho là, attention l’ami. Ce coq est l’un des plus grand spécimen de son espèce. Ce qu’il est capable de faire à vos poules, aucun coq n’est capable de le faire.

Se disant qu’il n’a rien à perdre, notre fermier paie et emporte son coq. Rendu chez lui, il le lâche dans sa basse-cour puis va nourrir les animaux de l’étable. Soudain, il entend un vacarme épouvantable : v’la ti’pa que le coq est train de baiser les poules à un rythme infernal ! Après sa baise incroyable, le coq tombe par terre, yeux clos.

Le fermier, en grogne, se dit :
– Bon, je me suis encore fait avoir ! Ce coq ne vaut déjà plus rien !

Le lendemain, au réveil, le fermier entend encore un vacarme épouvantable venir de la ferme. Il regarde à la fenêtre et voit son coq en train de mettre les lapins et les dindons ! Encore une fois, après sa baise incroyable, le coq tombe par terre, yeux clos.

Le fermier, en grogne, se dit:
– Bon, cette fois c’est sûr, je me suis encore fait avoir ! Ce coq ne vaut rien !

Le surlendemain matin, même scénario. Le coq saute tout ce qui bouge dans la ferme : vache, cochon, poulet… puis s’effondre. Les vautours commencent alors à tourner autour de la ferme dans le ciel. Le fermier arrive au pas de course et se met à hurler :
– Mon pauvre coq ! Mon Dieu,…

Puis le coq ouvre un oeil, pointe une aile vers le ciel puis dit tout bas au fermier :
– TSSSS ! Ta gueule ! Tu vas les effrayer !

Se nourrir de bouse de vaches

Un clochard rencontre son copain et lui dit :
– Oh la vache ! Qu’est-ce que j’ai bien mangé hier !
– Comment t’as fait ?
– Eh ben ! J’étais dans la cour d’une ferme à la sortie de la ville, et j’ai ramassé un crottin de cheval pour le manger. Alors le fermier est venu et il m’a dit : « Vous n’allez tout de même pas ingurgiter ça ?! Venez donc à la cuisine, je vais vous donner à manger. » Et là, il m’a servi du lard, du saucisson et du bon coup de rouge !

Son copain se dit que c’est une très bonne idée et il décide de faire pareil le jour même. Alors il se rend dans une ferme à l’autre bout de la ville, il ramasse une bouse de vache séchée et fait mine de la porter à sa bouche. A ce moment, le fermier arrive et s’écrie :
– Arrêtez donc malheureux ! Vous n’allez quand même pas manger cette vieille bouse toute séchée !!! Venez avec moi à l’étable là-bas, il y en a des toutes fraîches.

Le dépucelage du garçon de ferme

C’est un garçon de ferme pas bien déluré et pas bien intelligent non plus. Un jour, son patron le prend en pitié et décide de lui payer une sortie chez les putes.
– Ecoute mon petit, lui dit le fermier, à ton âge, c’est pas sain d’être encore puceau. Tiens, voilà 50 euros, et tu vas me faire le plaisir d’aller voir en ville sur les boulevards s’il n’y a pas une prostituée qui veut bien de toi !

Le garçon de ferme prend l’argent, enfourche sa mobylette, met son casque, et se met en route pour la ville.

A peine est-il entré en ville qu’il repère les demoiselles en train de faire le pied de grue. Il s’arrête devant la première et lui explique ce que son patron veut de lui. La fille l’invite alors à le suivre dans un hôtel tout proche. Une fois dans la chambre, la prostituée lui fait sa petite toilette et ensuite, elle se déshabille.

Le garçon regarde le spectacle tout nouveau qui s’offre à lui et demande :
– Qu’est-ce que c’est que ça ?
– Ça ? C’est ma bouche d’en bas ! Répond la fille.
– Quoi ? S’étonne le garçon, faut pas me prendre pour un idiot, hein… Je sais bien qu’il n’y a pas de deuxième bouche là en bas !
– Mais si, regarde, répond la fille en lui montrant par le geste : Il y a une moustache… il y a des lèvres…
– Oui mais il n’y a pas de langue ! Répond le garçon.
– Ah, pas encore, mais tu va bien arrêter de parler, non ?

Faire comme le taureau

Le fils de la ferme se balade dans un petit chemin en compagnie d’une jolie jeune fille fraîchement arrivée de la ville pour un petit séjour estival en chambre d’hôte.

Le jeune gars ne pense qu’à lutiner et justement, ça tombe bien, dans la pâture à côté, le taureau est en train de « faire son affaire » à une vache.

Sautant sur l’occasion, le jeune rural dit à son accompagnatrice avec un petit sourire en coin et un clin d’œil :
– Bon sang ! Qu’est-ce que j’aimerais faire pareil !…

Et la fille répond :
– Oh tu peux y aller… Après tout, c’est ta vache !