blague étudiantes

La curiosité de l’étudiante

Une étudiante dit à la copine dont elle partage le studio :
– Tu as du culot de prétendre que je suis une sale curieuse qui se mêle de tout ce qui ne la regarde pas.
– J’ai dit cela, moi ?
– Tu as fait pire que le dire : je l’ai lu en toutes lettres dans ton journal intime que tu dissimules hypocritement entre ton matelas et ton sommier.

Le professeur salace aux insinuations grivoises

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C’est l’histoire d’un prof d’économie dans une université Anglaise qui avait la fâcheuse tendance de toujours raconter des blagues salaces et de faire des insinuations grivoises.

Lassées d’être toujours prises pour cible, un groupe d’étudiantes décida qu’à la moindre allusion à tendance sexuelle, elles se lèveraient et quitteraient l’amphi en signe de protestation.

Néanmoins, un garçon ayant entendu les filles élaborer leur plan et voulant fayoter raconta tout au professeur.

Au cours suivant qui parlait de l’économie française, le professeur plaça judicieusement cette phrase :
– Vous savez que malgré un taux de chômage élevé, la France a encore besoin de main d’œuvre… On sait, par exemple, qu’il y a une pénurie de prostituées à Paris…

À ces mots, les filles ayant décidé la rébellion se regardèrent, opinèrent du chef et se levèrent toutes en même temps pour quitter la salle…

… Et le professeur, les observant d’un air innocent leur dit bien fort :
– Allons mesdemoiselles, inutile de vous presser ! Le prochain avion pour Paris ne décolle pas avant ce soir…

Dissimulation épistolaire et puis scolaire

– Comment, demande un garçon à sa petite amie, étudiante comme lui, dissimules-tu mes lettres à la camarade dont tu partages la chambre ?
– Oh ! C’est très facile ! Je les range soigneusement dans ses livres de cours, en sachant bien qu’elle ne les ouvre jamais.

Gare aux promesses…

Une étudiante demande à la camarade dont elle partage le studio :
– Qui est-ce qui t’appelait ?
– Oh ! Rien. C’était juste un coup de téléphone obscène d’un obsédé qui voulait absolument que je le rejoigne dans le petit bois, à côté, pour qu’il me fasse l’amour comme jamais on ne me l’a fait.
– Et alors ?
– J’ai accepté de me rendre à son rendez-vous.
– Bien joué. Et, maintenant, tu vas alerter la police ?
– Bien sûr que je vais alerter la police. Mais après être allée à ce rendez-vous, si jamais il ne tient pas ses promesses.