blague espionnage

L’assassinat d’Hitler

Pendant la guerre, deux espions belges décident d’assassiner Hitler. Ils font une enquête et découvrent que le Führer se rend chaque jour chez une prostituée, à onze heures trente précises. Le lendemain, à onze heures trente, les deux Belges se postent au coin de la rue, près de la maison close, un revolver à la main, et attendent Hitler. Onze heures trente, rien. Midi, rien. Midi trente, toujours personne. Une heure, toujours rien. Alors l’un des deux Belges dit à l’autre :
– Ben dis donc, pourvu qu’il ne lui soit rien arrivé, une fois ?

Le perroquet cafteur

Un jour, un gars qui se sentait délaissé par sa femme se baladait dans une animalerie. Il voulait avoir un compagnon mais ne savait quelle espèce choisir. Il passa devant les chiens et chats et les évita car ce n’était pas ce qu’il voulait. En passant devant les reptiles, il se dit que ce n’était pas ça non plus qu’il voulait. Il se dit la même chose en passant devant les poissons dans leur aquarium. Alors qu’il continuait à faire le tour du magasin, il entendit une voix dire :
– Achète moi achète moi, tu ne le regretteras pas

Cherchant à savoir qui proférait cette demande, il s’approcha du rayon des oiseaux et vit bientôt un perroquet tout bizarre, qui se tenait au fond de sa cage. Le gars après l’avoir inspecté lui dit :
– Pourquoi devrai-je t’acheter ? Tu n’as même pas de patte et tu es obligé de te tenir sur le fond de ta cage !…

Le perroquet lui fit alors un clin d’oeil et répondit :
– Je parie que tu as le blues et que tu suspectes ta femme de te tromper. Pas vrai ?

Le gars n’en revient pas. Tout surpris , il demande au perroquet comment il peut savoir ça. Le perroquet lui répond :
– J’ai su ça rien qu’en voyant ton air lorsque tu es rentré dans le magasin.

Alors le gars dit :
– Mais sans tes pattes, tu n’es même pas capable de te tenir sur un perchoir !
– Bien sûr que si je peux me tenir sur un perchoir ! J’ai un pénis très développé et préhensile qui me permet de me maintenir sur une branche. De plus, tu as tout intérêt à m’acheter car pendant que tu seras au travail, je pourrai espionner ta femme et te dire si réellement elle te trompe !

Le gars s’en alla voir alors le vendeur de l’animalerie et discuta un peu avec lui. Après quelques instants de discussion, le gars emporta le perroquet chez lui car il avait obtenu de pouvoir rendre le perroquet au bout de trois jours s’il n’en était pas satisfait. Il ramène donc le perroquet dans son salon. Installe le perchoir derrière le canapé avec de l’eau et des fruits à disposition. Puis il prévient le perroquet :
– Rappelle-toi : Si tes services ne me satisfont pas, je te ramène à l’animalerie.

Et le lendemain, le gars s’en va travailler. En rentrant du travail le soir, il demande au perroquet :
– Alors qu’est-ce que tu as à me raconter de cette journée ?
Mais le perroquet ne répond rien du tout.

Le deuxième jour, en rentrant du boulot, le gars demande à son perroquet si il a quelque chose à raconter.
Mais l’oiseau ne répond rien, bec cousu !

Le gars se dit qu’il s’est fait avoir, mais décide d’attendre la troisième journée avant de rendre l’oiseau.
Enfin, le dernier jour, alors qu’il rentre du travail, le gars vient aux nouvelles du perroquet. Cette fois le perroquet répond :
– Le facteur est venu aujourd’hui.
– Et alors ce n’est pas étonnant, il passe tous les jours !
– Mais aujourd’hui, il est rentré dans la maison…
– C’est certainement qu’il avait un colis et qu’il devait faire signer le reçu…

Et là le perroquet continue :
– Ensuite le facteur et ta femme se sont couchés sur le canapé.
– C’est pas vrai, tu te fous de moi ? Et qu’est-il arrivé après ?
– Il a dégrafé la chemise de ta femme et a commencé à lui masser les seins pendant qu’il l’embrassait passionnément.
– Et après ?
– Après il a mis la main entre ses jambes et elle a commencé à gémir de plaisir.
– JE LE SAVAIS, CETTE SALOPE ME TROMPAIT ! Continue : Qu’est-ce qui s’est passé après ?
– Après ? J’aurais bien aimé pouvoir te le dire, mais j’ai eu une érection et je suis tombé du perchoir. Alors je n’ai plus rien vu…

Le règne de Membrax

C’est la nuit. Dans un immeuble, un gars est en train de mater la femme qui se trouve dans l’immeuble en face grâce à une longue-vue montée sur un trépied. Le gars est en train de s’exciter à la regarder la bonne femme, il n’y tient plus et tandis qu’il se masturbe d’une main, il prend son téléphone portable et compose le numéro de la femme :
– Allô (c’est la femme qui décroche)
– Tremble poufiasse ! Le règne de Membrax arrive ! Devine ce que je tiens dans la main et que tu vas te prendre dans le cul… Ah ah ah !

Et là la femme répond :
– Je t’arrête tout de suite mon vieux : Si ça ne tient que dans une main, ça ne m’intéresse pas…