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Les prix des épiceries ambulantes

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Dans un village perdu, une petite vieille dit à l’épicier ambulant qui fait sa tournée :
« Ça ne vous ennuie pas de me prendre à bord de votre camionnette et de me ramener ? Ce serait bien, si vous pouviez m’attendre cinq minutes pendant que j’irais à Carrefour. J’ai besoin de gros sel et ils vendent le paquet 20 centimes de moins que vous. »

Le mari sans mémoire

– Mon mari, dit une dame à une voisine, est une véritable tête sans cervelle. D’une minute à l’autre, il oublie tout. Ainsi, je viens de l’envoyer à l’épicerie me chercher du sel fin. Je vous parie que lorsqu’il reviendra, il n’aura pas pensé à acheter du sel.

Cinq minutes après, le mari arrive en courant.
– Oh ! Ma chérie, dit-il, c’est formidable. J’ai fait vérifier notre bulletin de Loto, au tabac. Nous avons les numéros gagnants. On remporte la cagnotte de 24 millions de deuros !

Sa femme lance un clin d’oeil à sa voisine et demande sèchement à son mari :
– Et, naturellement, tu as oublié mon sel !

Le Belge et la répression des fraudes

Un Belge écrit au Service de la répression des fraudes :
– C’est un scandale : j’ai acheté hier, à l’épicerie Beulemans, 15 Avenue du roi Albert, un morceau d’emmental. Et l’épicier, avec un aplomb infernal, a pesé les trous avec le fromage, en les comptant au même prix.

L’évolution du téléphone

– J’ai connu, dans ma vie, plusieurs étapes, avec le téléphone, raconte un retraité. Au début de ma carrière, j’allais téléphoner à l’épicerie en bas de chez moi. C’était par utilité. Puis, j’ai eu un appareil à moi. C’était le luxe. Ensuite, j’ai dirigé un bureau où il y avait vingt téléphones. C’était l’opulence. Et, maintenant que je me suis retiré dans un petit village de Lozère, lorsque quelqu’un a vraiment besoin de me joindre, il appelle à l’épicerie-boulangerie-buvette où l’on me fait la commission quand j’y vais chercher mon pain. Et là, c’est vraiment le paradis.

Le concert de Stéphanie de Monaco

Ça se passe à Monaco, dans une épicerie ; il y a une jeune fille qui entre avec des lunettes noires et qui demande :
– Il vous reste des tomates ?

La marchande dit :
– Oui, bien sûr.
– Je voudrais acheter tout le stock.
– Tout le stock de tomates ?
– Oui, tout le stock !
– Mais pourquoi ?
– Mais parce que ce soir, je vais au concert de Stéphanie de Monaco.

L’épicière fait :
– Oh, écoutez, ce n’est pas gentil !
– Non, mais c’est prudent : Stéphanie de Monaco, c’est moi !