blague emmerdement

Saint-Pierre et le pédé

Au Paradis, ça dépend des jours et des arrivages, des fois, il y a une longue file d’attente. Un jour Saint-Pierre arrive et dit :
– Bon, pour accélérer les formalités d’inscription, je vais vous poser quelques questions ! Et pour commencer, vous allez me dire la profession que vous exerciez sur terre de votre vivant. Monsieur, là, vous faisiez quoi, par exemple ?
– Moi ? J’étais boulanger !
– C’est très bien, boulanger. Je note. Et vous ?
– Moi, j’étais peintre en bâtiment.
– Et vous, vous faisiez quoi ?
– Moi j’étais représentant, représentant en tricots de corps. Ceux qui collent si bien à la poitrine que tu ne peux plus les arracher. Une fois que tu les as, tu meurs avec ! La preuve, regardez, j’ai toujours le mien…
– Ça va, monsieur, je vous en prie, pas la peine de vous déshabiller… Et vous, qu’est-ce que vous faisiez ?
– Ben voilà.., euh…
– Bon, écoutez, décidez-vous: on va pas y passer la journée ! Alors vous faisiez quoi, sur terre ?
– Ben j’étais pédé !
– C’est un métier, ça ?
– Ben oui, j’étais pédé.
– Ah bon, et vous ne faisiez rien d’autre dans la vie ? Non ? Bon, attendez une seconde, je vais me renseigner…

Saint Pierre entre dans le Paradis et demande à la foule :
– Excusez-moi d’interrompre la récré ! Pédé, ça correspond à quoi ? Qu’est-ce que c’est ?

Et là, il y a Vercingétorix qui s’avance et qui répond :
– Faites gaffe ! Faites gaffe, c’est encore un truc pour emmerder la gaule !

Les vies de l’athée et du catholique intégriste

C’est un athée qui habite la maison voisine d’un catholique intégriste.

L’athée vit très bien, est marié à une femme superbe, a de très beaux enfants qui travaillent bien à l’école, a une maison somptueuse… et par contre, le catho qui va à la messe deux fois par semaine, qui fait trois prières par jour, qui enseigne le catéchisme etc…, ce pauvre catho a tous les problèmes possibles : sa femme s’est barrée, ses enfants sont délinquants et ne vont plus à l’école depuis qu’ils on 15 ans, et en plus le gars vient de se faire licencier.

Un jour, voyant enfin l’injustice divine, le catho s’adresse à son Dieu en ces termes :
– Oh mon Dieu, je te rends grâce chaque jour, je chante tes louanges sur tous les tons, j’enseigne ta parole aux enfants, je te demande conseille pour chacun de mes actes, je te confesse tous mes pêchés… et pourtant, j’ai une vie misérable, alors que mon voisin qui n’a jamais été à l’église, qui ne croit pas même pas en Toi, qui ne t’implore jamais, et bien on dirait que tu l’as touché de ta grâce Divine : il respire le bonheur, sa vie est formidable… je n’y comprends rien !

Et c’est alors qu’une voix profonde surgit de nulle part répond :
« PARCE QUE LUI N’EST PAS TOUJOURS EN TRAIN DE M’EMMERDER ! »