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La dame de la haute société et les G.I.’s

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Pendant la deuxième guerre mondiale, aux États-Unis, une dame de la haute société avait décidé de soutenir l’effort de guerre en invitant quelques valeureux p’tits G.I. qui allaient bientôt partir au casse-pipe à manger chez elle.

Elle appelle la base militaire toute proche et demande à parler au Major. Au Major, elle dit :
– Major, pourriez-vous me trouver trois jeunes militaires qui seraient susceptibles de dîner ce dimanche soir à ma table. Mais de grâce, faites qu’aucun d’eux ne soit juif.
– C’est bien compris, Madame, répond le Major.

Et nous voilà le dimanche soir. Sur le seuil de la porte de la dame se tiennent trois jeunes militaires en tenue impeccable, tous les trois sont NOIRS :
– Bonsoir m’dame. Nous sommes ici sur votre invitation.

La dame est abasourdie. Elle en bafouille :
– Mais, mais…. le Major a du faire une erreur !
– Oh, non M’dame, le Major Cohen ne fait jamais d’erreur ! répondent en chœur les G.I.

Le cassoulet du père Eugène

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Du temps de l’Occupation, le père Eugène allait de temps en temps à Toulouse vendre un cochon ou un veau et en profitait pour faire quelques emplettes. Un jour, comme il était arrivé à la gare de Toulouse avec une bonne heure d’avance sur le train qui devait le reconduire dans sa campagne, il prit le temps de se taper un cassoulet au buffet. Puis le train entra en gare et l’Eugène monta dans un compartiment où trois officiers allemands avaient déjà pris place.

Le train démarre, et là, le cassoulet commence à lui travailler les tripes : au bout d’un moment, n’y tenant plus, le père Eugène lâche un pet, mais un pet bien bruyant et odorant !

Et pourtant le voyage continue, les passagers affectant de n’avoir rien entendu. Mais l’Eugène, ça le travaille de plus en plus, et le voilà qui en lâche un deuxième. Cette fois, les Allemands ne peuvent retenir une grimace de dégoût.

Et vlan, là-dessus, l’Eugène se laisse aller une troisième fois. Les Allemands n’en peuvent plus : ils se lèvent et sortent du compartiment avec un mouchoir sur le nez. Alors l’Eugène se tourne vers son voisin et lui dit :
– Qu’est-ce que vous voulez ? On peut pas leur dire qu’ils nous emmerdent, mais on peut toujours leur faire sentir !

À mort les boches

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Un bistrot en zone occupée, en 1943. Le propriétaire a un perroquet qui crie tout le temps :
– À mort les Boches ! A mort, sales Boches !

Au début, les Allemands du coin s’amusent :
– Ach, das ist ein lustiger Papagai !

Mais à la fin cela les énerve et le feldwebel dit au gargotier :
– Si demain le perroquet recommence à nous traiter de sales Boches, tu seras fusillé avec lui !

Le cafetier prend son perroquet et va chez le curé, qui lui propose de faire un échange avec le sien, de la même espèce.

Le lendemain soir, les Allemands sont là et le perroquet reste silencieux. C’est comme cela tous les jours mais au bout de quelques semaines les Allemands regrettent les injures du perroquet. Ils commencent à lui parler et à lui demander de parler :
– Dis-nous encore à mort les Boches ! Papagai ! Sales Boches ! Sales Boches !

Finalement, le perroquet les regarde calmement et leur crie :
– Que Dieu vous entende, mes fils !