blague dénonciation

In vino veritas

Macron dénonce les dérives d’un « capitalisme fou »…

dessin d’actualité humoristique sur la dénonciation des dérives du capitalisme par Emmanuel Macron
13 juin 2019 – In vino veritas

Emmanuel Macron : « Milton Friedman… Enculé ! »
(Caricature Emmanuel Macron – Dessin du 13 juin 2019)

La blague du Dieu Nonoss

Ne vous êtes-vous jamais demandé ce qui poussait les chiens à se renifler le derrière à chaque fois qu’ils rencontrent un de leurs congénères ? Je vais vous donner l’explication :

Il y a très très longtemps, bien avant que les humains n’apparaissent, c’étaient les chiens qui régnaient en maîtres sur la planète. Ils étaient comme le sont les humains actuellement : ils marchaient sur leurs pattes de derrière, ils parlaient entre eux, bref, ils avaient ce que l’on peut appeler une vraie société… La seule différence est qu’ils vivaient avec un Dieu vivant, le dieu « Nonoss ».

Un jour, en pleine célébration du dieu Nonoss, un des chiens de l’assemblée laissa échapper une flatulence d’une odeur pestilentielle et cette odeur infecte se propagea jusqu’aux narines du dieu Nonoss.

Le dieu fut extrêmement fâché, et demanda au chien coupable de se dénoncer pour qu’il subisse sa punition. Or, aucun chien n’avança. Le Dieu Nonoss, après de multiples menaces, décida de transformer tous les chiens en ce qu’ils sont aujourd’hui.

Et depuis ce jour-là, les chiens cherchent le coupable…

Les autoroutes du Seigneur

Sur l’autoroute, un curé roulant à toute vitesse se fait prendre par le radar d’un hélicoptère de police. Un CRS l’intercepte au péage et commence à lui rédiger une contravention.

« Comment avez-vous su que j’allais à plus de 180 ? » demande le prêtre énervé.

Sans quitter la contravention des yeux, le policier pointe le doigt vers le ciel vers le ciel.

« Ça, ça m’étonnerait » rétorque l’homme d’église, « LUI ne m’aurait jamais dénoncé ! »

Les lapins russes

Les lapins décidèrent un jour de fuir l’URSS, et se concentrèrent en masse à la frontière. Un lapin amateur de double jeu dénonça ce grand projet. On arrêta les émigrants clandestins, dont on fusilla les meneurs. Puis les mois passèrent. Les lapins étaient au camp de travail et s’organisèrent de leur mieux. Deux ans plus tard, une commission arriva de Moscou pour les interroger :
– Pourquoi vouliez-vous quitter l’URSS ?
– Au cause de ce qui a été fait aux girafes.
– Ah !
– Oui, on les fusille, les girafes…
– Mais vous n’êtes pas des girafes ?
– D’accord, dirent les lapins, mais comment le prouver ?