blague curés

Le fils du curé

humour, blague sur les curés, blague sur les médecins, blague sur la paternité, blague sur l'homosexualité, blague sur les archevêques, blague sur les religions

Une femme sort avec un médecin. Peu de temps après, elle tombe enceinte. Ils ne savent pas quoi faire.

Quelques neuf mois plus tard, juste au moment où elle devrait mettre au monde l’enfant, un curé entre à l’hôpital pour se faire soigner une affection du prostate. Le médecin annonce à la femme :
– Je sais ce que nous allons faire. Après avoir opéré le curé, je lui donnerai le bébé et lui dirai qu’il s’agit d’un miracle.
– Penses-tu que ça marchera ?
– Ça vaut la peine d’essayer…

Ainsi le médecin délivre la femme de son bébé et puis opère le curé. Après l’intervention, il s’entretient avec le prêtre :
– Mon père, vous n’allez pas me croire…
– Quoi ? Que s’est-il passé ?
– Mon père, vous avez eu un bébé.
– C’est impossible…
– J’ai opéré moi-même. Il s’agit certainement d’un miracle. Voici votre fils.

Quinze ans plus tard, le curé se rend compte qu’il doit tout avouer à son fils. Il l’appelle auprès de lui et dit :
– Mon garçon, j’ai quelque chose à te dire. Je ne suis pas ton père.
– Que veux tu dire ? Je ne suis pas ton fils ?
– Je suis ta mère. L’archevêque est ton père.

Les dangers de la masturbation

humour, blague sur les confessions, blague sur les enfants, blague sur les masturbations, blague sur les pertes de mémoire, blague sur l'onanisme, blague sur les curés

C’est un petit garçon qui se rend au confessionnal :
– Eh bien voilà, mon père, je m’accuse de m’être livré, surtout le soir, aux plaisirs solitaires.
– Mon enfant, dit le curé, c’est une très mauvaise habitude pour deux raisons. La première, c’est que ça fait perdre la mémoire, la deuxième, la deuxième… Merde, j’ai oublié !

Surtout ne pas blasphémer

humour, blague sur les curés, blague sur Dieu, blague sur les blasphèmes, blague sur les golfeurs, blague sur la vulgarité, blague sur la foudre divine

Un curé en soutane est en train de disputer une partie de golf avec un gars normal. La balle est sur son tee, le gars arme son swing et ZIP, il tape dans la terre.

Le gars :
« AAAAR Bordel de nom de Dieu de merde ! Raté ! »

Le curé :
« Vous blasphémez mon fils !

Le gars :
« Oups ! Excusez-moi mon père. »

Le curé :
« Je vous pardonne, rejouez le coup… »

Le gars réarme son swing et BOP, à nouveau dans la terre

Le gars :
« YAAAK ! Putain de bordille de vérole de Jésus Christ! encore raté ! »

Le curé :
« Attention mon fils ! N’allez pas trop loin. La patience du Seigneur a des limites ! »

Le gars :
« Désolé mon père. ça m’a échappé ! Je ne recommencerai pas ! Juré ! »

Le curé :
« Il vaut mieux pour vous, pensez à votre salut… »

Le gars :
« Je ne pense qu’à ça mon père… »

Le gars swingue pour la troisième fois et TCHOP, dans la terre once again.

Le gars :
« EEEEk ! La putain d’enculerie de sa mère d’enfoiré de Bon Dieu ! Encore raté ! »

Et là, d’un seul coup d’un seul, le temps qui était ensoleillé devient tout noir, le tonnerre gronde…

Le gars :
« Que se passe-t-il donc mon père ? »

Le curé :
« Malheureux ! Je vous avais prévenu ! Vous avez attiré sur vous la foudre divine ! Je ne peux rien pour vous sauf prier pour votre âme. »

KRAK !!!! La foudre tombe en un éclair et …. pulvérise le curé qui se volatilise.

Et là Dieu dit :
« Sacrée chierie de saloperie de bordel de Dieu ! RATÉ ! »

Un mariage si pressé

– Je le sais bien, dit d’un air excédé la future belle-mère au curé qui s’impatiente,  je le sais bien que le marié n’est pas là ! Vous n’avez qu’à commencer la cérémonie sans lui. Ça le fera peut-être arriver !

Pratique confessionnelle

humour, blague sur la sexualité, blague sur le péché de chair, blague sur le sexe, blague sur les confessions, blague sur les curés, blague sur les religions

C’est une jeune fille qui rentre dans une église pour se confesser, elle va voir le curé et commence à se confesser :
– Mon Père, j’ai commis le péché de chair (Au moment de parler, elle prend une voix de plus en plus faible et timide)

Alors le curé qui a de plus en plus de mal à la comprendre:
– Parle haut, ma fille ! Parle haut !
– Non, non mon Père, par le bas !