blague curés

Adresse aux pisse-froids

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Adresse aux pisse-froids

On recherche : sens de l’humour, de l’autodérision, du second degré…
Si vous les trouvez… Merci de les transmettre aux « bien-pensant·e·s », SJW, censeurs du bon goût, intégristes, woke, curés, complotistes et autre pisse-froids
(Dessin du 23 avril 2021)

Le perroquet résistant

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Pendant la Seconde Guerre mondiale, à Paris, un officier allemand prend tous les soirs un verre dans le même bar, où un perroquet l’apostrophe :
– L’Allemagne va perdre la guerre !

Agacé, l’officier dit au patron :
– Si demain ce perroquet recommence, je l’étrangle et je fais fermer votre bar.

Inquiet, le patron du bar échange son perroquet avec celui du curé. Un perroquet de curé, c’est plus respectable !

Le lendemain, l’officier allemand entre dans le bar et demande au volatile :
– Alors, c’est toujours l’Allemagne qui va perdre la guerre ?
– Que Dieu vous entende, mon fils !

Les parties du curé

C’est un curé « nouvelle vague » qui s’en va rendre visite à un de ses paroissiens un samedi soir. Comme il s’approche de la maison, il se doute qu’il y a de l’animation car il entend des cris et des rires.

Le curé appuie sur le bouton de la sonnette, le paroissien ouvre la porte, laissant entrevoir derrière lui un cercle d’hommes complètement nus, avec au beau milieu de ce cercle 3 jeunes femmes, nues elles aussi, mais portant un bandeau sur les yeux et s’occupant à palper les parties des hommes qui leur font face afin d’en deviner le « propriétaire » !

En voyant ce tableau, le curé à son hôte :
– Je suis désolé… Je pense que ma place n’est pas ici ce soir…

Le gars lui répond :
– N’importe quoi Monsieur l’curé ! Les filles ont déjà cité votre nom 3 fois !

Le langage du partage

Un curé de campagne invite chez lui quelques collègues et c’est sa bonne, la vieille Marie, qui sert à table. Elle amène l’entrée et elle dit :
– Messieurs les curés, voici des crudités de mon jardin.

Le curé fait :
– Oh, ma fille, ma fille, vous n’avez pas l’esprit de partage. Il ne faut pas dire de mon jardin, il faut dire de notre jardin.
– Oh, pardon, Monsieur le curé.

Puis arrive le rosbif, et la vieille Marie dit :
– Voici l’excellent rôti de mon boucher avec les haricots tout frais de mon jardin !
– Oh, Marie ! Je ne vais pas vous reprendre pendant tout le repas ! Pas de mon boucher, ni de mon jardin. Dites de notre boucher, de notre jardin ! Compris ?

Alors à la fin, au dessert, il y a la bonne Marie qui arrive :
– Qu’est-ce qu’il y a encore, Marie ?
– Eh bien, Monsieur l’abbé, il y a notre chatte qui est en train de faire ses petits dans notre lit.