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La cuillère magique du serveur

C’est un type qui rentre dans un grand restaurant (c’est une grande brasserie plutôt). Il s’assied à une table, et tout en s’asseyant, il fait tomber la cuillère qui était disposée à sa table.

Le garçon ayant entendu le bruit de la cuillère vient illico lui remplacer par une toute nouvelle qu’il sort de sa poche.

Le client, impressionné par la rapidité du serveur lui dit :
« Est-ce que tous les serveurs emmènent une cuillère dans leur poche ? »

Le serveur répond :
« Un rapport d’audit a démontré que 25% des clients faisaient tomber leur cuillère par terre en s’asseyant à leur table. Un expert en efficacité hôtelière nous a donc conseillé de porter sur nous en permanence une cuillère de rechange afin d’économiser un voyage en cuisine. »

A la fin du repas, comme notre client demandait son addition, il remarque un détail sur la tenue du serveur :
« Excusez-moi mais, pourquoi avez-vous une ficelle qui pend de votre gilet ? »

Le serveur lui répond :
« C’est toujours notre expert en efficacité : Il a déterminé que l’on passait trop de temps à laver nos mains après avoir été aux toilettes… La ficelle est donc attachée à mon pénis, et quand je dois aller uriner, j’utilise la ficelle. De cette manière, je n’ai pas à le toucher, et donc je n’ai pas à me laver les mains. »

Le client lui répond :
« Ah oui, c’est très bien… Mais dites-moi, comment faites-vous lorsque vous avez terminé pour faire rentrer votre pénis dans votre pantalon ? »

Le serveur répond :
« Je ne sais pas comment font les autres serveurs, mais personnellement, j’utilise la cuillère… »

La cuillère à sauce de la bonne du curé

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C’est un jeune curé qui est invité à dîner par le curé du canton voisin qui est un peu plus vieux que lui. Pendant le dîner, le jeune curé remarque comment la bonne du curé est vraiment charmante et bien faite de sa personne.

Naturellement, le jeune curé ne peut pas s’empêcher de se demander si il n’existe pas une relation, du genre de celle que l’église réprouve, entre le curé d’âge mûr et la bonne.

Pendant le repas, le jeune curé fait quelques sous-entendus à ce sujet, ce qui fait qu’à la fin du repas, le curé d’âge mûr lui assure que la bonne ne s’occupe que du ménage et des repas, et c’est tout !…

Une semaine plus tard, alors qu’elle sert le repas, la bonne dit au curé d’âge mûr :
– Mon Père, depuis que le jeune prêtre est venu dîner, je n’arrive plus à mettre la main sur votre magnifique cuiller à sauce. Vous ne pensez pas qu’il aurait pu l’emporter avec lui, quand même ?

Le curé d’âge mûr lui répond :
– Oh j’en doute. Mais je vais quand même lui écrire une lettre à ce sujet.

Alors le curé d’âge mûr écrit une lettre qui dit :
« Mon cher Frère, je ne dis pas que vous n’avez pas pris la cuiller à sauce, et je ne dis pas non plus que vous avez pris cette cuiller à sauce. Mais il y a une chose de sûre : cette cuiller a disparu depuis que vous êtes venus dîner. »

Trois jours plus tard, le curé d’âge mûr reçoit une lettre du jeune curé :
« Mon cher Frère, je ne dis pas que vous couchez avec votre bonne, et je ne dis pas non plus que vous ne couchez pas avec. Mais une chose est sûre : Si vous couchiez dans votre propre lit, vous auriez déjà retrouvé votre cuiller à sauce. »