blague criminel

L’encre de Jack l’Éventreur

Les perles : la justice

Avec le thé, le fog et le monstre du Loch Ness, Jack l’Éventreur est devenu un mythe britannique. Le mystérieux tueur de Spitalfields adresse en 1888 à une agence de presse londonienne une lettre signée du sobriquet qu’il s’est choisi pour entrer dans la légende. Faute de pouvoir utiliser le sang de sa dernière victime, qui, dit-il, a trop vite coagulé, Jack l’Éventreur écrit à l’encre rouge.

Le sauvetage de Charlotte Corday

Les perles : la justice

Au matin du 13 juillet 1793, Charlotte Corday pénètre dans la salle de bains de Marat. Le Montagnard fanatique, pourtant ami du peuple, y soigne un eczéma persistant. Elle sort un couteau acheté quarante sols et lui enfonce l’arme dans la gorge. Arrêtée, elle dira simplement : « J’ai tué un homme pour en sauver cent mille. »

Les bons mots de l’assassin

Les perles : la justice

Même au seuil de l’échafaud, les plus grands criminels ne lésinaient pas sur les bons mots. Pierre- François Lacenaire, poète assassin, sans lequel le crime manquerait d’esthétique et la guillotine de bons mots, salue les honnêtes bourgeois qui, le 12 novembre 1835, lui fixent rendez-vous avec la mort : « De grâce, messieurs les jurés, ne me condamnez pas à vivre ! »

Il bâtira sa légende sur ses fulgurances tour à tour provocatrices : « Je tue un homme comme je bois un verre de vin » ou mélodramatiques : « J’aime la mort comme on aime une fiancée. »

La blague du jugement pour meurtre

L’histoire se passe dans un tribunal de l’Oklahoma. Un gars est en train d’être jugé pour meurtre.

Les preuves de la culpabilité de l’accusé sont là, mais on a pas retrouvé le corps de la victime. L’avocat de l’accusé, bien qu’il sache que son client est coupable a l’idée de tenter quelque chose pour éviter la condamnation à mort de son client. En pleine plaidoirie il s’adresse aux jurés en regardant sa montre :
« Mesdames et messieurs du jury, j’ai une surprise pour vous ! Dans moins d’une minute, la personne que mon client est accusé d’avoir tuée va entrer dans ce tribunal ! »
Et ce disant, l’avocat se tourne vers la porte du tribunal.

Dans le jury, tout le monde est étonné et imite l’avocat. Les minutes passent cependant… et personne ne vient.

Finalement, l’avocat dit :
« En fait, ma déclaration n’était qu’un mensonge… Mais vous avez tous tourné la tête vers la porte du tribunal, pensant qu’il était possible que je dise la vérité et que la prétendue victime était encore vivante. Je pense donc que vous devez être d’accord avec moi pour dire que le doute ici doit bénéficier à l’accusé. Et je vous demande donc de le déclarer non-coupable. »

Le jury, assez troublé, se retire alors pour délibérer.

Quelques minutes plus tard, le jury fait sa réapparition et le représentant prononce le verdict : « Coupable »

Alors l’avocat demande:
« Mais comment cela se fait-il ? Vous auriez du avoir un doute et il aurait du profiter à l’accusé. Je vous ai tous vu regarder la porte… »

Alors le représentant du jury répond :
« Oh oui, on a tous regardé… mais votre client, non. »

La première envie de meurtre

Le président d’une cour d’assises interroge un homme, accusé d’une série de crimes.
– A quand faites-vous remonter votre première envie de meurtre ?
– A l’époque où j’avais une douzaine d’années et où j’ai surpris ma mère en train de faire l’amour avec un mec méprisable et sans scrupules.
– Vous auriez dû en parler à votre père.
– Je ne pouvais pas.
– Pourquoi ?
– C’était mon père.