blague couvent

Les religieuses, ça m’excite !

Deux vieux bonshommes, voisins et veufs tous les deux, ont l’habitude de sortir une chaise et de s’installer au soleil, sur le trottoir devant chez eux.

Ils papotent, et dans la conversation, l’un dit à autre :
– Dis donc, ça t’arrive encore d’être excité… je veux dire… sexuellement ?
– Oh ben oui.
– Et qu’est-ce que tu fais dans ces cas là ?
– Souvent, je m’enfile une bonne petite religieuse…

Après une bonne minute de pause, l’autre demande :
– Et qui est-ce qui te conduit jusqu’au couvent ?

La blague des frites sexuelles

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Un prêtre fait visiter le monde à une jeune et pure jeune fille avant qu’elle n’entre au couvent. Soudain, ils voient deux chiens qui font l’amour :
– Que font-ils mon père ?
– Ils font des frites ma sœur…
Et la réponse semble suffire à la jeune fille.

Puis ils voient une vache et un taureau qui font l’amour :
– Que font-ils mon père ?
– Ils font des frites ma sœur…
Et la là encore, la réponse semble suffire à la jeune fille.

Enfin ils rentrent au couvent. Trois jours plus tard, la Mère Supérieure aperçoit la jeune nonne qui rentre au couvent après en avoir escaladé le mur :
– Où étiez-vous, ma sœur, vous n’étiez pas présente à l’office du soir ?
– Je faisais des frites.
– Vraiment, vous faisiez des frites à 10 heures du soir ? En avez-vous une preuve ?
– Pour sûr ma mère ! J’ai encore la végétaline entre les jambes !

La blague des lapins du couvent

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Dans le couvent des Bénédictines de Sainte-Marie de l’Immaculée Conception, les bonnes sœurs ont une petite basse-cour. Dans cette basse-cour, elles élèvent des lapins, mais le problème, c’est qu’à chaque printemps, les femelles se carapatent dans la nature.

Un jour sœur Marie-Madeleine a une idée de génie :
– Et si on leur mettait des clochettes autour du cou ? De cette façon, on pourrait les repérer facilement !
– C’est une bonne idée, lui répond la Mère Supérieure, allez au village à la droguerie et achetez ce qu’il faut.

Sœur Marie-Madeleine prend son vélo et s’en va chez le droguiste. Une demi-heure plus tard, elle revient rouge de confusion et dit à la Mère Supérieure :
– Ma Mère, si vous saviez ce qu’il m’a dit le droguiste…
– Qu’a-t-il dit qui puisse vous mettre dans cet état ?
– Il m’a demandé si « j’avais du poil au cul », ma Mère !

La Mère Supérieure prend alors le vélo et fonce au village pour tirer les choses au clair :
– C’est bien vous qui avez demandé a sœur Marie-Madeleine si « elle avait du poil au cul » ?
– Ben oui…, répond le droguiste, elle m’a bien demandé si j’avais des grelots à la pine !