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Le viol des religieuses

Dans un couvent, les sœurs ont été violées par une bande de jeunes. La police arrive et découvre que toutes les sœurs ont les vêtements arrachés. Une seule est encore très bien habillée et propre.
L’inspecteur lui demande alors :
– Et vous ma sœur, vous n’avez pas été violée ?

Elle répond :
– Ho non ! Moi j’ai pas voulu…

Les maçons et la religieuse

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Il y avait un immeuble en construction juste à côté d’un couvent de carmélites.

Une vieille religieuse avait remarqué au cours de ses promenades dans la cour du couvent, que le langage des ouvriers n’était pas vraiment châtié et qu’il se rapprochait même le plus souvent de l’ordurier.

Se disant qu’il lui suffirait de passer quelques temps avec eux pour corriger leurs habitudes, elle entreprit de les retrouver pour la pause déjeuner, elle prendrait alors son repas avec eux.

Aux environs de midi, elle approcha du groupe des maçons avec un grand sourire et leur dit :
« Est-ce que l’un de vous connaît Jésus ? »

Se regardant les uns les autres et s’interrogeant du regard, personne ne semblait connaître Jésus. Un des ouvriers cria alors en direction du groupe des charpentiers qui mangeait plus loin :
« Hé les gars, y a quelqu’un connaît un ‘Jésus’ ? »

Un des gars demande alors pourquoi. Et le maçon répond :
« Y’a sa femme qui est ici avec son déjeuner. »

La bonne blague de la cigogne

Trois cigognes se rencontrent dans le ciel et se demandent les unes aux autres :
– Tu vas où ?
– Hooo, je vais chez un couple qui essaye d’avoir un enfant depuis 10 ans…. Je leur apporte une petite fille.
– C’est cool !
– Et toi ?
– Je vais chez une dame qui n’a jamais eu d’enfants. Je lui apporte un petit garçon !
– C’est bien, je suis sûre qu’elle va être vraiment heureuse.
– Et toi ? demandent les deux cigognes à la troisième.
– Moi ? Je vais juste là, à côté, au couvent. Je ne leur apporte jamais rien mais j’adore leur foutre la trouille….

L’éducation au couvent

Un jeune homme avec une carrière prometteuse devant lui décide un jour de se marier avec une fille respectable. Sa promise a fait toute son éducation dans un couvent.

Après la cérémonie, les jeunes mariés prennent la voiture pour rejoindre leur nid d’amour. Ils doivent cependant traverser un quartier de la ville où les prostituées exercent leurs talents.
– Charles-Edmond, que font ces femmes appuyées contre les murs et les lampadaires ?
– Oh, ce sont des femmes qui louent pour 50 euros leur corps pour le sexe.
– 50 euros ! s’exclame la jeune mariée, Et les moines qui nous donnaient simplement une tablette de chocolat…

La blague du prix de la fellation

Monsieur le curé soupçonne un de ses fidèles de la messe du dimanche, de se servir dans la corbeille de la quête plutôt que d’y déposer son obole. Aussi, lorsque l’enfant de chœur passe dans l’assemblée, le prêtre surveille ce qui se passe du coin de l’œil… Et hop, il aperçoit le jeune Eric qui subtilise un billet de 10 euros qui avait été placé là à desseins par le curé !

Furieux, le prêtre alpague le fidèle malhonnête à la fin de la messe et l’invite à se rendre au confessionnal sur-le-champ. Là, le jeune Eric avoue :
– Je suis désolé Mon Père, j’ai pris cet argent pour me faire faire une fellation.

Monsieur le curé lui demande de rendre l’argent, et le renvoie avec des pénitences. Mais ne sachant pas ce qu’est une réellement une fellation, il décide de demander des explications à Sœur Marie-Bénédicte, sa copine du couvent des Ursulines, chez qui il va manger chaque dimanche.

Le même jour à midi, il arrive chez les sœurs et demande aussitôt :
– Ah Sœur Marie-Bénédicte, vous tombez bien : un de mes fidèles m’a avoué au confessionnal qu’il avait volé 10 euros pour se faire faire une fellation.

Alors Sœur Marie-Bénédicte sursaute d’étonnement et lui répond :
– 10 euros ? Je me demande qui casse les prix comme ça en ville !