« Je reconnais vous devoir 1.800 francs pour mon assurance auto, mais je vous demande de patienter encore un peu, ayant des ennuis financiers. Surtout n’aller pas croire que je veux vous prendre en traite. »
M. X. demande, dans les cinq minutes, le concours d’un hélicoptère de la gendarmerie pour acheminer une lettre ouverte qu’il vient d’écrire au président de la République.