blague contagion

La contagion à l’hôpital

Un monsieur demande à un ami comment s’est passé son séjour à l’hôpital.
– Ce n’était pas folichon, mais on se fait à tout, sauf à une chose.
– La solitude ?
– Non, le fait que les infirmières avaient tellement peur de la contagion qu’elles utilisaient une sarbacane pour nous administrer les suppositoires !

La blague des seins qui remontent

C’est une femme qui va chez le médecin :
– Docteur, il m’arrive un truc bizarre : quand j’enlève mon soutien-gorge, j’ai les seins qui remontent !
– Ah bon, voyons voir ça…

La dame se déshabille et enlève son soutien-gorge…En effet, ses deux seins remontent.
– Ça alors, dit le médecin, c’est vraiment curieux. Et ça vous fait ça tout le temps ?
– Oui, docteur.

Elle remet son soutien-gorge puis le retire aussitôt, et de nouveau, hop, les seins qui remontent.
– Oui, oui, oui fait le médecin songeur, je vois ce que c’est…
– Vous savez ce que c’est, demande la patiente ?
– Non, répond le médecin, mais en tout cas c’est contagieux.

Le juif sur son lit de mort et l’évêque

C’est un juif super riche, super connu, super cynique et sans descendant qui est sur son lit de mort. Au dernier moment, au lieu d’appeler le rabbi à son chevet, il fait convoquer l’évêque !

L’évêque est intrigué et en raison de la personnalité du mourant, il fait le déplacement. Lorsqu’il entre dans la chambre, le juif lui fait signe d’approcher… et quand il est vraiment tout près, il lui murmure :
– Je vous ai fait venir ici pour que vous appreniez mes dernières volontés… Je vais partager ma fortune en trois : Une part ira à la construction d’un monument à la mémoire de tous les juifs morts pendant la guerre… une autre ira à la construction d’une maison de retraite pour les rescapés de la Shoa… et la dernière part sera remise au rabbi Rosenberg pour qu’il l’utilise comme bon lui semblera.

L’évêque est blême : Il ne comprend pas pourquoi le juif l’a fait venir à son chevet, surtout pour lui raconter qu’il passera à côté de l’héritage. Il demande :
– Excusez-moi, mais… pourquoi m’avez-vous fait appeler ?
– Parce que ma maladie est contagieuse.