blague compassion

Je suis homophobe !

Christine Boutin compatit pour la fusillade d'Orlando alors qu'elle manifeste ouvertement son homophobie
17 juin 2016 – Je suis homophobe !

Suite à la fusillade qui a fait 50 morts à Orlando, Christine Boutin et la Manif pour Tous, homophobes avéré, poste sur Twitter leur compassion envers les victimes gays. « Je suis con sanguin »…
(Caricature Christine Boutin – Dessin 17 juin 2016)

Etre français pour les nuls

Les éditions Beaufland présentent le livre "être français pour les nuls"
10 septembre 2015 – Etre français pour les nuls

Tête droite ou tête gauche. T’es beauf ou Bobo de Paris. Soit t’es l’un ou soit t’es l’autre. Ni l’un ni l’autre. Bâtard tu es. Tu l’étais et tu le restes. « Stromae ». Tiens depuis la crise migratoire voilà que le beauf facho français se retrouve empli de compassion pour nos SDF…
(Dessin du 10 septembre 2015)

La blague du mouroir

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C’est dans une chambre d’hôpital à deux lits, il fait nuit.

Vers les 3 heures du matin, le jeune homme qui dormait dans le lit de droite est réveillé par les soupirs et les râles du vieux monsieur dans le lit de gauche. Il allume la veilleuse, regarde le vieux monsieur et identifie les râles comme étant ceux de l’agonie.

Compatissant, mais mal à l’aise, il sonne pour appeler de l’aide. Arrive l’infirmière de service, une jeune nonette. Tout en bordant affectueusement le jeune homme, en lui caressant le front, elle lui demande :
– Et qu’est-ce qui ne va pas ?
– Mais, regardez Ma Soeur, le vieux monsieur est en train de mourir.
– Ah oui, fait elle, il se meurt.

La nonette ne s’occupe pas le moindre du monde du vieux et continue à tirer les draps et à installer confortablement le jeune homme, qui risque :
– Ne serait-il pas préférable d’isoler les mourants, dans une chambre… un mouroir ?

Et la nonette lui répond suavement :
– Mais c’est ici, le mouroir.

Les malheureux SDF

– À chaque fois, dit la femme d’un riche avocat, que je vois, dans la rue, une de ces malheureuses SDF, je me sens prise d’angoisse à l’idée que, moi aussi, un jour, je pourrais me trouver sans argent.
– Alors, que fais-tu ?
– Je prends mon sac où je range mes cartes de crédit…
– Les SDF acceptent les cartes de crédit ?
– Qui te parle des SDF ? Je vais me remettre de cette émotion en faisant une bonne tournée d’achats dans les magasins.