blague communistes

Quand Brejnev voulait ouvrir des boîtes de striptease

Brejnev au retour d’un voyage en Occident décide que pour attirer les touristes et gagner des devises l’URSS ouvrira également des boîtes de strip-tease. La création des cabarets est inscrite dans le plan et le meilleur bureaucrate est désigné pour en assurer l’exécution. Un an après, Brejnev le fait venir et demande le bilan :
– Alors, camarade, combien de boîtes de nuit ouvertes à Moscou ?
– Dix, camarade Premier Secrétaire !
– Et quel bénéfice ?
– Pas de bénéfice hélas, camarade Premier Secrétaire !
– Comment ! Mais as-tu vérifié que tout a été fait pour attirer le touriste occidental ?
– Oui, camarade Premier Secrétaire !
– Est-ce que la vodka est bonne ?
– La meilleure, camarade Premier Secrétaire !
– Est-ce que la musique est bonne ?
– La plus moderne, camarade Premier Secrétaire !
– Ah, j’y suis, dit Brejnev, je suis sûr que les filles n’ont pas été bien choisies !
– Ah si camarade Premier Secrétaire ! Elles ont toutes leur carte du parti depuis la Révolution d’Octobre !

Les juifs en Union Soviétique

Du temps de la guerre froide : Brejnev à Kosygin :
– On a combien de juifs dans notre union soviétique ?
– Bof… dans les 6-8 millions.
– Et combien émigreraient si on les laissait faire ?
– Entre 20 et 25 millions…

La police russe et les portraits de Brejnev

Du temps de Brejnev, en URSS, deux droujenic (policiers) font leur ronde dans les rues de Moscou. Ils traversent de petites rues mal famées, sur les murs desquelles on peut voir collées de petits portraits (format A4) du camarade secrétaire général.

Chemin faisant, ils parcourent des rues mieux tenues, où ils contemplent des portraits plus importants (format A3). Dans la rue principale, ils passent devant de grands panneaux, de la taille d’une affiche publicitaire impérialiste.

Sur la Place Rouge enfin, ils se retrouvent à contempler un portrait géant de Léonid…

L’un des policiers dit alors :
– Qu’est-ce-que tu en penses de tout ça ?

Prudent, l’autre se contente de rétorquer :
– Ben… comme toi !
– Dans ce cas, je t’arrête !

Le Sarkozyste cocu

– Chéri, dit une dame à son mari, qui vient de la trouver toute nue au lit avec un inconnu, toi qui est un Sarkozyste tellement acharné, tu vas être content. Monsieur était, jusqu’à ce jour, secrétaire de la cellule communiste locale mais je crois avoir trouvé les arguments pour l’inciter à voter pour la Majorité, lors des prochaines élections.