blague communisme

Le perroquet anti-communistes

Aux temps reculés de l’URSS, Vladimir, un opposant du régime avait dressé son perroquet à dire des horreurs sur les communistes. Il l’exhibait lors de réunions de son parti ultra-secret, et il demandait à son perroquet de dire ce qu’il pensait des communistes. Le perroquet ne se faisait pas prier : « Cooommuniste ! Tous des saaaalauds ! Ennemis de la démocrrrraatie ! On crrrèèèève de faim ! Vive le caaapitalisme ! »

Or pendant une de ces réunions, la police secrète déboule. Vladimir panique, ne sait que faire de son perroquet, et le cache dans le réfrigérateur. La police embarque tout le monde, et ils passent un mois en prison.

De retour chez lui, Vladimir se souvient du perroquet, ouvre le réfrigérateur, et a la surprise de trouver Coco en vie. Il le sort, le soigne, le réchauffe. Le perroquet revient de loin, il reprend des couleurs, mais il ne dit pas un mot. Vladimir essaye :
– Alors Coco, tu ne te rappelles plus, les communistes ? Ce sont tous des salauds ?
– …
– Ennemis de la démocratie ? – …
– Vive le capitalisme ?
– Oh j’me tais maintenant. Un mois de Sibérrrrie, ça m’a suuuffit !

La blague de la queue polonaise

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Un polonais se promène dans Gdansk. Au détour d’une rue, il aperçoit de nombreuses personnes en train de faire la queue. Sans plus réfléchir, il se colle derrière et attend…

Une heures plus tard, alors que la queue n’a toujours pas avancé du moindre millimètre, il questionne la dame devant lui :
– Excusez-moi, madame, mais pour quoi faisons-nous la queue ici ?
– Ah, ça ! Je ne sais pas moi. J’ai juste aperçu des gens qui faisaient la queue, alors je me suis mise derrière.

Alors il ajoute :
– Demandez donc à la personne qui est devant vous pourquoi nous faisons la queue !
La dame demande, mais la personne répond :
– Je ne sais pas J’ai juste aperçu des gens qui faisaient la queue, alors j’y suis allée… Et ainsi, de proche en proche, on remonte jusqu’à la deuxième personne de la queue qui demande à la première pourquoi elle fait la queue.

La première personne répond alors :
– Ah, mais moi, je me promenais dans la rue, et je me suis arrêté pour refaire mon lacet. Lorsque je me suis relevé, il y avait un monsieur qui attendait derrière moi. Je me suis dit : « C’est le coup de chance ! Pour une fois que je suis le premier à faire la queue, je reste ! »