blague commerçant

Surtout ne pas marchander !

– Bonjour, dit un homme en entrant dans une petite boutique de vêtements. Je viens chez vous parce que j’ai horreur de marchander :
– Alors, répond le commerçant, vous ne pouvez pas tomber mieux. Qu’est-ce qui vous tente, chez nous ?
– Ce jean. Combien vaut-il ?
– Il est affiché à 190 euros, mais je ne vais pas vous en réclamer 170 euros. Ni même 150 euros. A titre amical, je vous le laisse à 120.
– Votre manière de faire des affaires me plaît : C’est pourquoi je ne m’abaisserai pas à vous offrir seulement 60 euros, ni même 80, Si vous me le faites à 100, je le prends.
– Disons 110 et n’en parlons plus !
– Marché conclu ! Et ce que c’est agréable, à notre époque, de pouvoir faire ses achats sans être obligé de tout marchander !

Le marchand de trompettes et de revolvers

Dans une petite ville, un commerçant vient d’ouvrir une nouvelle boutique. Il vend des trompettes et des revolvers. Son voisin se décide à lui rendre visite. Il se présente et dit :
– Alors, ça marche, votre étrange commerce ?
– Pourquoi étrange ?
– Parce que vous vendez des trompettes et des revolvers.
– Et alors ?
– Si vous me le permettez, je vais vous poser une question : Qu’est-ce que vous vendez le plus, des trompettes ou des revolvers ?
– Ça s’équilibre, dit le commerçant. Chaque fois qu’un client m’achète une trompette, un de ses voisins vient m’acheter un revolver.

Accusé de viol

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C’est Maurice Benichou, commerçant juif du sentier, qui est accusé d’avoir violé Mlle Dupponnay, sa secrétaire.

Le jour du procès, il se ramène avec tous ses potes du sentier pour l’encourager à l’audience. Alors Maurice il est tout fier, il met les bagues, la chaîne en or etc..

Le procès commence, et le juge lui demande :
– Mr Benichou, connaissez-vous Mlle Dupponnay ici présente, qui vous accuse de l’avoir violée ?

Et Maurice tout fier en se retournant vers ses potes :
– Comment si j’la connais ? J’l’ai même niquée !