blague censure

Liberté d’expression

Je veux rire des religions
Je veux donner mon opinion
Avec humour, avec passion
Sans devoir subir de pressions
De tous les cons, les Cro-Magnons
Qui se disent frères ou compagnons
Et sans devoir faire attention
C’est la liberté d’expression

Lazzi

copie d'écran de l'observatoire du journalisme dénonçant les atteintes à la liberté d'expression par l'intimidation
Liberté d’expression

« Les actions en justice : fin de la liberté d’expression par l’intimidation. » (source : Observatoire du Jounalisme)

L’interview de Macron par Delahousse

dessin humoristique d'Emmanuel Macron qui parle à son chien Nemo de l'intervieux de Laurent Delahousse
20 décembre 2017 – L’interview de Macron par Delahousse

L’interview de Macron par Delahousse s’est bien passée…
Emmanuel Macron à son chien Nemo : « Tu vois, lui, il a pas fait pipi contre la cheminée. »
(Caricature Emmanuel Macron et Nemo – Dessin du 20 décembre 2017)

La blague russe de l’encre rouge

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Ça se passe en U.R.S.S., dans les années 50. Jacob-Illya Vasilievitch est un ingénieur juif en travaux publics. Un beau jour, les autorités hiérarchiques le mutent dans une ville de Sibérie pour participer à la création d’un gigantesque complexe industriel.

Jacob est assez anxieux de cette mutation. Il dit à Rebecca, sa femme :
– Tu resteras ici. Pas question de déménager. Je t’écrirai toutes les semaines, voilà tout…
– Mais, et la censure ? Lui demande Rebecca.
– Eh bien, nous allons utiliser un stratagème. Lorsque je t’écrirai quelque chose à l’encre bleue, cela voudra dire que c’est la vérité et que tu pourras croire tout ce que tu liras ; par contre, tout ce que j’écrirai à l’encre rouge sera faux.

Un mois plus tard, Rebecca reçoit la première lettre de Sibérie provenant de son mari Jacob. Toute la lettre est écrite à l’encre bleue :

« Bonjour ma chérie
La vie ici est formidable. La tâche que nous avons à réaliser est grandiose, l’état nous a fourni des logements de fonction dignes de ceux d’un roi. Nos repas dans le restaurant collectif sont de vrais festins. Vraiment, je ne regrette pas cette mutation !

Une chose manque pourtant atrocement à ce tableau idyllique : impossible de trouver de l’encre rouge en ville… »