blague campagne

Le pas cher qui peut vous ruiner !

Après une nuit torride avec une « professionnelle », le maire du village sort de sa poche un billet de cinquante euros qu’il pose sur la table. La demoiselle s’écrie :
– Mais c’est beaucoup trop, je ne prends que vingt !
– Vingt euros pour une nuit ? Mais comment arrives-tu à en vivre ?
– Ne vous inquiétez pas pour moi. Je fais aussi du chantage à mes heures perdues !

Tout au fond du puit

Un couple de Parisiens se promène à la campagne. La nuit descend. Soudain, le mari disparaît. Il vient de tomber dans un nouveau puits sans protection.
– Antoine, Antoine ? crie la femme. Réponds-moi ! Jusqu’où as-tu de l’eau ?

D’un vague glouglou émergent quelques paroles :
– Jusqu’aux chevilles !
– Ah, tu me rassures !

Et la précision arrive dans un autre glouglou :
– Oui, mais je suis tombé la tête la première.

Manger des fraises

Un jeune homme de la ville va pour la première fois à la campagne. Voyant un jardinier au travail, il lui demande ce qu’il fait :
– Ben, je mets du fumier sur mes fraises.
– Comme c’est curieux, moi j’y mets du sucre…

La garde du chien

Un jeune ménage avait loué une maison de campagne pour les vacances. Un soir, leur voisin voit le mari et la femme devant la porte de leur maison, l’air désespéré.
– Qu’est-ce qu’il y a ? Auriez-vous oublié vos clefs ?
– Non, mais nous avons un nouveau chien de garde. Il ne veut pas nous laisser entrer.

Le calvaire des usagers de la SNCF

La télévision offre des reportages de terrain sur les effets de la grève de la SNCF dans les gares.

On aimerait qu’elle manifeste le même zèle pour les grèves dans les EHPAD, dans les hôpitaux, lorsqu’on ferme des usines, etc.

dessin d'actualité humoristique de campagnards regardant à la télévision le calvaire des usagers de la SNCF
9 avril 2018 – Le calvaire des usagers de la SNCF

Les chaînes de télévision retransmettent avec zèle le calvaire des usagers de la SNCF en période de grève…
Campagnards : « – Lorsqu’on voit les galères des métropolitains, ça console presque de vivre dans le monde rural abandonné…
– Oui. Presque. »
(Dessin du 9 avril 2018)