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Le sexe à la brouette

Un homme qui avait un tout petit sexe alla un beau jour consulter un marabout.

Le marabout, après avoir pris son argent lui dit :
– Ecoute-moi bien car c’est très important : avec le traitement, ton sexe va atteindre des dimensions incroyables. Tu verras, toutes les femmes vont fantasmer sur toi. Je t’assure. Dans un mois, ta vie va complètement changer.

Un mois plus tard, effectivement, la vie de cet homme a complètement changé.

L’homme a le sexe tellement long qu’il est obligé de le transporter sur une brouette et de le ranger sous une couverture, car bien entendu, plus aucun pantalon n’est suffisamment vaste pour l’accueillir.

Mais un jour, passant devant un immeuble un jour de grand vent, la couverture s’envole. Une jeune fille qui était à son balcon aperçoit le long tuyau et envoie aussitôt sa petite sœur en tirer un bout. La petite s’exécute et remonte avec l’extrémité du sexe de l’homme…

Passe alors un ami du gars au pénis et à la brouette qui lui demande ce qu’il fait là, et aussitôt l’autre lui répond :
– Ben, je crois que je nique, mais je ne sais pas à quel étage !

La blague des vols dans l’usine

C’est un gars qui obtient un poste de vigile de nuit dans une usine. Il a été embauché car il y a déjà eu pas mal de vols réalisés pour la plupart par les ouvriers travaillant la nuit. Dès son entrée en fonction, à la sortie de l’usine le matin, le vigile passe les employés à la fouille et s’assure que ni leurs sacs ni leurs poches ne contiennent d’objet volé. Tout se passe bien jusqu’à ce qu’un ouvrier poussant une brouette remplie de papiers et de cartons se présente à la sortie.

Pensant en son for intérieur qu’il tient là un suspect, le vigile arrête l’ouvrier et vide la brouette de tous ses papiers. Ne trouvant rien d’autre, il demande :
– A quoi ça va servir tout ce papier ?

L’ouvrier répond :
– Je me fais un peu d’argent de poche en portant ce papier au recyclage. Et ces papiers sont récupérés dans les poubelles de l’usine, donc pas de problème.

Le vigile laisse passer l’employé, mais décide de garder un œil sur lui. A chaque sortie d’usine les autres matins, le vigile ne trouve rien chez les ouvriers qu’il fouille, ni chez le récupérateur de papier.

Les jours se suivent comme ça pendant une année lorsqu’un beau jour, le vigile est convoqué par le directeur de l’usine. Sans prendre de gants, le directeur lui dit :
– Vous êtes viré !

Abasourdi, le vigile répond :
– Mais pourquoi ? Qu’est-ce que j’ai fait ?
– Votre travail consistait à vous assurer que personne ne vole quelque chose dans cette usine, et vous n’avez pas réussi. Donc vous êtes viré.
– Eh une minute… Qu’est-ce que vous entendez par pas réussi à faire mon boulot ?
– Personne n’a jamais volé quoi que ce soit pendant que j’étais vigile.
– Ah vraiment ? Répond le patron. Et alors comment expliques-tu les 365 brouettes manquantes ?

La blague du paiement des impôts

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Les perles : les impôts

Voici un courrier réellement reçu par le Trésor Public en 1999.

« Monsieur l’agent du Trésor Public,

Mon colis a pu vous étonner au départ. Alors voilà quelques explications. Je vous joins à cette lettre une photocopie de l’article du Nouvel Observateur intitulé « les vraies dépenses de l’État ». Vous noterez que dans le quatrième paragraphe, il est précisé que l’Élysée a l’habitude de payer des brouettes 5 200 francs, des escabeaux 2 300 francs et des marteaux 550 francs pièce. Par ailleurs, un très intéressant article du Canard Enchaîné dont la bonne foi est bien connue (copie également ci-jointe), rapporte que le prix des sièges WC du nouveau Ministère des Finances est de 2 750 francs pièce.

Vous devant la somme exacte de 13 216 francs pour l’année fiscale qui s’achève, je vous adresse donc dans ce colis quatre sièges WC neufs et cinq marteaux, le tout représentant une valeur de 13 750 francs.

Je vous engage par ailleurs à conserver le trop perçu pour vos bonnes oeuvres ou bien d’utiliser les 434 francs restant pour acheter un tournevis supplémentaire à notre Président de la République (voir article « les vraies dépenses de l’État »).

Ce fut un vrai plaisir de payer mes impôts cette année, n’hésitez pas, à l’avenir, à me communiquer la liste des tarifs usuels pratiqués par les principaux fournisseurs de l’État.

J.O., un contribuable heureux. »

La brouette qui faisait couic couic

Un travailleur immigré officie comme manoeuvre sur un chantier de construction. Un jour, il va voir l’intendant du chantier :
– Chef ça va pas, la brouette elle fait « couic…couic…couic…couic », et ça me casse les oreilles. Il faudrait di l’huile…
– Va demander l’autorisation au contremaître à côté mon gars. fait l’intendant.
– Heu missié le contremaître, ji voudré dé l’huile pour ma roue di la brouette… elle fait « couic…couic…couic…couic »
– Tu es renvoyé, viré, tu quittes le chantier immédiatement je ne veux plus te revoir ici.

L’ouvrier ne comprend pas et demande des explications :
– Mais ji comprends pas, chef, ji viens juste ti signaler que la brouette elle fait du bruit et toi ti veux me renvoyer, pourquoi ?
– Parce que ta brouette c’est pas « couic…couic…couic…couic » qu’elle devrait faire mais « COUIC-COUIC-COUIC-COUIC » (en prononçant très vite)