blague braconnage

La corde du braconnier

Un braconnier, las de vivre, attache à la branche d’un arbre une corde pour se pendre. Un lapin, qui observe la scène, dit à un de ses congénères :
– C’est bien la première fois que ça me fait plaisir de le voir poser un collet !

Le braconnier belge

Cela se passe dans une forêt profonde. Léon, qui essaie tant bien que mal de braconner, sans résultat alors qu’il est équipé de tout un matériel hi-tech, rencontre Pierrot qui lui braconne les mains nues avec grand succès.

Léon :
– Bah dis donc, une fois, comment fais-tu pour attraper autant de lapins avec rien dans les mains, comme ca ?

Pierrot :
– Eh bien gars, vois-tu, je me mets devant un terrier de lapin et j’imite le cri de la carotte. Si c’est un petit terrier, j’imite le cri de la petite carotte, si c’est un terrier moyen, je fais le cri de la carotte moyenne, et si c’est un gros terrier. le cri de la grosse carotte.

Léon :
– Ah ! Et dis-moi une fois, je pourrai en faire autant et ca marcherai ?

Pierrot :
– Ouais, ouais.

Et le lendemain matin, on lit en première page du journal :
« Un belge écrasé par un train à la sortie d’un tunnel. »

La blague du braconnage au Canada

blague canadien, blague Canada, blague braconnage, blague collet, blague enfants, blague saligaud, blague bite, humour drôle

Dans le grand Nord canadien trois femmes papotent :
– Mon fils, dit la première, c’est le roi du braconnage. Il a que cinq ans. Et bien, pas plus tard que ce matin il m’a ramené dix castors qu’il a attrapé avec ses pièges.
– Le mien, dit la seconde, dans la maternité déjà il piégeait les pigeons par la fenêtre de ma chambre. Il avait pas une semaine.
– Bah c’est rien à côté du mien dit la troisième. Quand j’étais enceinte. Et bien ce petit saligaud trouvait pas mieux que d’attraper la bite à son père au collet…..

La bonne action de Jean-Marie Le Pen

Jean-Marie revient d’un meeting électoral dans le Nord, et voit sur le bord de la route un arabe qui vient d’avoir un accident, il est ensanglanté et sur le point de mourir.

Comme il est dans un jour de bonté, Jean-Marie ouvre la portière arrière, met l’accidenté sur la banquette arrière et se met à faire du 180 pour arriver le plus vite possible à l’hôpital.

En chemin, des gendarmes en moto le prennent en chasse pour vitesse un peu excessive. Jean-Marie, soucieux des lois, s’arrête devant le gendarme. En se dirigeant vers Jean-Marie, il jette un coup d’oeil sur la banquette arrière, et dit :
« Alors Jean-Marie, on braconne ? »