blague Bernard Tapie

Une justice relax…

Relaxe de Bernard Tapie.

dessin humoristique de Zaïtchick sur la relaxe de Bernard Tapie pour escroquerie dans l'affaire de l'arbitrage sur son contentieux avec le Crédit Lyonnais
10 juillet 2019 – Une justice relax…

Juge : « On a décidé de laisser faire la nature… »
Police de la pensée : « Ici la police de la pensée : Attention, ce message est potentiellement porteur de haine, en France, la justice est aveugle… sourde et muette ! »
(Caricature Bernard Tapie – Dessin du 10 juillet 2019)

Le sincère mensonge

Les perles : la justice

Le prévenu :
– Madame le président, j’atteste sur l’honneur…

Le magistrat, qui le coupe aussitôt :
– Non, cela ne suffit pas, monsieur ! Nous passons notre temps ici à avoir des gens qui nous mentent. Nous voulons des preuves !

Seul Bernard Tapie avait résolu le problème. Il « mentait de bonne foi » !

La nébuleuse Tapie

Les perles : la justice

En plein procès de l’affaire de corruption Valenciennes-OM, au mois de novembre 1995, le procureur de la République de Valenciennes, Éric de Montgolfier, dans un réquisitoire aussi ciselé que mémorable, apostrophe Bernard Tapie encore au faîte de sa gloire : « Dans notre siècle de fric et de toc, je me demanderai toujours, monsieur Tapie, pourquoi, plutôt qu’une constellation, vous avez choisi d’être une nébuleuse… »

Le marchand de Tapie

Les perles : la justice

De la bouche d’un avocat qui venait d’apprendre que Bernard Tapie allait dispenser chaque matin des conseils sur l’antenne de RMC, y compris dans le domaine judiciaire : « À quand Landru professeur de cuisine, Petiot conseiller médical et Dutroux éducateur ? » Tapie expliquait ce jour-là doctement que l’appel est suspensif devant le juge pénal, tandis qu’il ne l’est pas sur les autres rives du droit.

La vie selon Tapie

Les perles : la justice

« Dans la vie, c’est comme au cirque. Il y a les balayeurs et les équilibristes. Si le balayeur fait tomber l’équilibriste, il n’y a plus de cirque », déclare Bernard Tapie, président de l’OM, devant les policiers de la Brigade financière venus lui demander quelques explications sur les irrégularités relevées dans la gestion du club de foot marseillais. Forte pensée de veine tapiste, que l’on traduira de manière plus abrupte, mais plus compréhensible, par : « Lâchez-moi les baskets ! J’ai le pouvoir de vous briser ! »