blague benêt

L’amour est dans le pré

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C’est au tour du dernier fils de la ferme de se marier. Il s’agit du Raymond, qui est un peu demeuré et sa mère lui fait les recommandations :
– Ecoute, mon fils, tu montes avec la Christiane, et si tu as des problèmes, tu m’appelles et je t’aiderai.
– Oui, m’man !

Et il monte. Dans la chambre, sa dulcinée roucoule, roule des yeux et défait ses bas avec des gestes à faire damner un moine octogénaire. Mais le Raymond, intimidé, tourne les talons et descend vers sa mère, affolé :
– M’man, m’man, la Christiane elle se met toute nue on dirait !
– Mais c’est normal, mon fils, on se déshabille toujours pour faire « la Chose ». Fais pareil !

Le Raymond remonte, et, un peu honteux, enlève ses frusques. Il se retrouve comme un benêt debout près du lit où la Christiane, dans le plus simple appareil, se tortille comme un ver en susurrant des cochonneries. Le Raymond redescend en courant, et complètement ahuri annonce à sa mère :
– M’man, ça y est, on est tout nus tous les deux, qu’est-ce que j’fais maint’nant ?

Sa mère, excédée, lui dit :
– Bon dieu de bois, t’es quand même pas futé ! Maint’nant, tu la montes comme font les bêtes !

Le regard illuminé par un éclair de compréhension, le Raymond, sabre au clair, remonte l’escalier en courant. Il glisse au premier tournant, manque une marche et se tape le crâne contre la dernière marche : BOUM !

Alors il crie à sa mère :
– M’man, m’man, ça saigne ! Ça saigne !
– C’est normal, lui crie sa mère, continue !

Alors, il se tape le front contre la marche : BOUM ! BOUM ! BOUM ! BOUM !

L’entreprise de saucissons d’âne

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Un chef d’entreprise est en train d’initier son unique fils qui n’est malheureusement pas une lumière au capitalisme :
– Mon fils, comme tu es hélas mon unique rejeton et que tu vas être amené à me succéder, je vais te faire un topo sur ce qui a fait la fortune de notre famille : le saucisson d’âne.

Et le père lui montre les différentes machines inventées par les ancêtres de la famille :
– Voici la première machine inventée par ton arrière grand-père… A l’époque, il fallait réduire l’âne en bouillie avant de la passer dans la machine qui le transformait alors en saucisson.

Et il poursuit :
– Ça c’est la machine améliorée par ton grand-père. On mettait un âne coupé en deux directement dedans et hop ! 300 kg de saucisson à l’heure… Et là, c’est mon invention, celle qui a fait de nous les leaders européens. L’âne entre vivant d’où gain de temps et d’argent. 300 kg de saucisson à la minute ! Qu’en dis-tu ?

Le petit ne bronche pas, visiblement tout ça ne l’inspire pas vraiment… Le père reprend son speech :
– Et maintenant, fils, je te pose la question : comment vas-tu t’y prendre pour faire de nous les leaders mondiaux du saucisson d’âne ? Réfléchis bien, pense à la devise de notre famille : « toujours plus loin, toujours plus fort » !

Alors là, la cervelle du petit se met en ébullition, et l’inspiration arrive d’un coup d’un seul :
– Euh… On pourrait inventer une machine que quand on met un saucisson dedans, il en sort un âne ? hein ?

Le père, désespéré :
– La machine existe déjà fiston : C’est ta mère…