blague Beaujolais

La femme qui téléphone au bar

A onze heures du soir, le téléphone sonne dans un bar. Le garçon répond et dit à un homme, occupé à boire du beaujolais, depuis une heure.
– C’est votre femme.
– Ah ! Et elle… s’impatiente… parce que je… ne suis… pas encore rentré ?
– Pas du tout. Elle m’a simplement chargé de vous dire que vous trouverez votre pyjama et votre brosse à dents dans le jardin, près de la niche du chien où vous pouvez finir la nuit, tandis que vous cuverez votre vin.

La soirée du beaujolais nouveau

– Tu as une tête épouvantable, ce matin, dit une mère à son grand fils. Ça s’est bien passé, ta soirée consacrée à déguster le beaujolais nouveau ?
– Très bien.
– Et tes copains sont restés longtemps ?
– Jusqu’à ce que le tire-bouchon soit usé.

Le touriste américain dans le Beaujolais

Un touriste américain s’arrête dans un village, en plein cœur du Beaujolais, et se dirige vers le plus proche café-buvette.
– Un grand verre de lait, commande-t-il au Bourguignon à la tronche rubiconde, qui se tient derrière le comptoir.
– Certainement, monsieur, répond le cafetier. Et, avec ça, voulez-vous qu’on change vos couches-culottes ?

Le pharmacien et les vignobles

Deux hommes ivres entrent dans une pharmacie et ordonnent :
– Garçon, deux beaujolais !

Le pharmacien essaie de les raisonner :
– Ce n’est pas un café, ici, mais une pharmacie.
– On s’en moque ! Deux beaujolais… où on te casse la figure…

Sans plus discuter, le potard va dans l’arrière-boutique et revient avec deux verres pleins d’huile de ricin que les deux hommes avalent d’un trait. Au bout de quelques instants l’un d’eux s’écrie :
– Je suis sûr qu’il nous a possédés, ce garçon. A voir ce qu’il est acide, ce pinard, je parie qu’il nous a servi un Côtes-du-Rhône.

Juste une question de breuvage

La femme d’un buveur invétéré raconte à une voisine :
– Mon médecin m’a donné un remède-miracle, pour guérir mon mari qui absorbe quotidiennement plusieurs bouteilles de beaujolais.
– Vraiment ?
– C’est un liquide amer qu’il suffit de verser dans le café du sujet à traiter.
– Vous l’avez essayé ?
– Oui. J’ai versé la potion dans le café du matin de mon mari.
– Et ça l’a guéri de boire ?
– Radicalement… de boire du café, tout au moins.