blague bavarde

L’invitée bavarde

– L’autre jour, raconte une femme, nous étions invités, mon mari et moi, chez des amis. Certes, je suis un peu bavarde. Mais je n’ai pas du tout apprécié la façon dont notre hôte me l’a fait sentir : en détachant ostensiblement un feuillet du calendrier fixé au mur pour bien souligner que minuit venait de passer.

Requiem pour un perroquet…

Une dame très bavarde demanda à un écrivain de lui écrire un quatrain-épitaphe pour son perroquet, son «coco chéri» qu’elle venait de perdre. Et l’écrivain inventa ce quatrain :
« Passant, ci-gît un perroquet
Qui, vivant, eut beaucoup d’adresse
Mourant, il laissa son caquet
Par testament à sa maîtresse. »