Requiem pour un perroquet…

Une dame très bavarde demanda à un écrivain de lui écrire un quatrain-épitaphe pour son perroquet, son «coco chéri» qu’elle venait de perdre. Et l’écrivain inventa ce quatrain :
« Passant, ci-gît un perroquet
Qui, vivant, eut beaucoup d’adresse
Mourant, il laissa son caquet
Par testament à sa maîtresse. »

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