blague amitié

Le moka au jambon

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Edgar rend visite à un de ses amis, Gaspard.
– Salut Gaspard, ça boume ?
– Ouais. Mais j’ai faim, je mangerais bien un gâteau.
– Hier j’ai fait un Moka, tu veux la recette ?
– Merci. Tu es vraiment un pro !
– Bon : hier j’ai pris 400g de farine.
– Ok, 400g de farine.
– J’ai rajouté du chocolat en poudre et du lait.
– D’accord.
– Maintenant un peu de levure et de l’huile d’olive.
– T’es sûr pour l’huile d’olive ?
– Hier j’en ai mis.
– Bon. D’accord.
– Ensuite j’ai coupé un peu d’jambon, et l’ai mélangé avec 4 œufs.
– Euh ?
– C’est ce que j’ai fait hier.
– Bon, si tu le dis.
– Ensuite tu mets tout ça dans un moule, et tu fais cuire a 400 degrés.

Gaspard suit la recette, et quand le gâteau est prêt, il se tourne vers Edgar :
– Mais c’est dégueulasse comme truc !
– Hier aussi c’était dégueulasse.

Quelque chose de positif

Un gars déprime complètement et se dit que sa vie ne vaut plus rien. Alors, un de ses pote arrive et lui lance :
– Allez…. tu as bien quelque chose de positif dans ta vie ?!

Et l’autre de répondre :
– Oui, c’est vrai… mon test HIV

Le pique-assiette

– Comment se fait-il, demande une femme à son mari, qu’on ne voit plus jamais ton ami François, cette espèce de pique-assiette qui venait régulièrement nous casser les pieds et se faire inviter à dîner ?
– Figure-toi qu’il y a deux mois, à force de supplications, il a réussi à ce que je lui prête 100 euros. Et, depuis, il évite soigneusement de me rencontrer. Je ne crois pas avoir fait, un jour, un placement aussi avantageux.

Gestion des priorités

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Retardé par son patron, un employé se hâte de rentrer chez lui en s’inquiétant :
– Mon ami Philippe devait venir à la maison à huit heures pour dîner et il en est déjà neuf. Qu’est-ce que ma femme a bien pu imaginer pour le faire patienter pendant tout ce temps ? Elle l’a peut-être invité à regarder la télévision. Elle lui a peut-être raconté nos dernières vacances à Corfou. Elle lui a peut-être fait une petite pipe. Elle lui a peut-être servi un grand verre de mon whisky de douze ans d’âge…

Soudain, il s’arrête, bouleversé :
– Mon Dieu, supplie-t-il, pourvu… pourvu qu’elle n’ait pas eu l’idée de lui servir de mon whisky !